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  • Le pancréas

    Avec les fêtes qui arrivent nous  pouvons être amenés à vivre  des situations, dans lesquelles nous auront beaucoup d'émotions diverses et confusent. Dans ces conditons, certains de nos organes seront en difficultés, notamment ceux de la digestion. Certes les excès alimentaires seront à prendre en compte, sans oublier les émotions que nous auront, pour des raisons diverses, refoulés et accumulées.

    th-2.jpgLe pancréas

    Le pancréas synthétise des enzymes qui aident à digérer la nourriture. Il maintient le taux d’insuline qui aide à la stabilisation du taux de sucre dans le sang. S’il est en déséquilibre survient alors le diabète ou l’hypoglycémie.

    Cet organe symbolise la liberté, le pouvoir, la maîtrise de soi, ma définition de mon « moi ». Lorsque l’on vit beaucoup d’émotions on peut avoir une difficulté à digérer. C’est le siège de mon EGO, de mon énergie émotionnelle, de mes sentiments. Il représente ma capacité à intégrer l’amour à l’intérieur de moi et ma capacité à transiger avec les sentiments des autres (exemple la colère). Il m’indique qu’il y a un désordre au niveau de mes émotions, c’est pourquoi, j’ai de la difficulté à digérer.

    coquelicots.jpgL’hypoglycémie se caractérise par une diminution anormale de glucose dans le sang. Le plus souvent par insuffisance d’apport calorique (énergie) ou par excès d’alimentation très sucrée. Cette situation est à l’opposée de ce que l’on rencontre chez les diabétiques. Elle est reliée au manque de joie. Comme le sucre représente une forme de récompense affective, de douceur, de tendresse, il est la manifestation de l’amour. Une profonde tristesse m’envahit, j’ai envie de tout laisse tomber. Cela me cause de l’angoisse et même de l’hostilité, peut être du dégoût.

    La question à se poser, dans ce cas : suis-je à la recherche de cet amour ? Est-ce que je l’attends de l’extérieur ? Est-ce que je mange du sucre pour combler ce manque ?

    Plusieurs manifestations peuvent apparaître. Parce que je donne tellement aux autres que je n’ai plus rien à me donner. Cela me montre mon besoin de commencer à m’aimer. Parce que je me respecte, je respecte mes besoins.

    Je peux vivre de grandes contrariétés, surtout envers une personne qui fait office d’autorité. Je peux avoir des attentes qui ne sont pas satisfaites.

    Je peux vivre de grandes peurs face à quelque chose ou quelqu’un qui me dégoûte. Je peux être dégoûté par mon corps.

    Je peux vivre une tension ou une pression intérieure excessive sur lesquelles je crois que je n’ai pas le contrôle, ma vie est déséquilibrée et j’ai perdu mon orientation, le sens que je donne à ma vie.

    Ce manque affaiblit la personne qui peut aussi se positionner comme une victime et attirer l’attention sur elle, parce que cela est plus facile que de prendre sa vie en main.

    th-10.jpgLe positif : j’accepte ce qui m’arrive et j’accepte de me donner plus. En agissant ainsi, je reconstitue mon stock d’énergie. Ce qui me permettra de donner de nouveau aux autres. Je décide de rendre ma vie plus joyeuse, de répondre à mes attentes. Mon corps est un sage, un ami fidèle auquel je suis réceptif. J’accepte mon rôle de leader au lieu de suivre les autres. Je m’adapte aux situations, je prends ma place.

    Cultivons la joie de vivre, le plaisir de faire des choses que l'on aime, métiers, loisirs, famille, amis.

    Je vous souhaite d'excellentes fêtes de fin d'années.

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  • Rêve de Dragon

    Le11995672-golden-giant-dragon-chinois-pour-l-39-annee-1212-1.jpg Dragon

     

    Voir un dragon dans un rêve. Le dragon c’est le gardien des trésors cachés. Il représente nos peurs, celles auxquelles nous devons faire face. Dans les légendes le héros est souvent confronté à un dragon lorsqu’il approche de la grotte où est caché le trésor. Il doit se battre avec lui. Après bien des vicissitudes le héros gagne le combat final avec le dragon. Et la toison d’or est à portée de main.

    La Toison d’or représente la conquête de ce que la raison croit impossible. Elle représente aussi l’innocence, figurée par la toison du bélier et la gloire figurée par l’or. C’est la quête du Graal, pour nous les occidentaux. Le dragon est aussi assimilé au serpent, qui représente, pour les hindous, l’énergie spirituelle lovée au bas de la colonne vertébrale et qui doit se déployer, comme un serpent et montée le long la colonne afin d’atteindre le sommet de notre tête. Cette énergie est sensée nous permettre d’augmenter notre capacité à écouter notre intuition et notre médiumnité, à entrer en contact avec notre guide intérieur, notre Soi pour Jung.

    Dans un rêve, la vision d’un dragon  invite le rêveur, la rêveuse, à faire face à ses peurs, mais aussi à ses préjugés, aux croyances qui lui disent qu’il ou elle ne peut pas avoir ceci ou cela, que ce n’est pas possible. Nous sommes conduis à nous dépasser, à réaliser, à concrétiser nos rêves les plus fous. Il y a un adage qui dit : tout est possible à celui qui croit.  Faire face à nos peurs, pour conquérir ce trésor qui est caché au fond de nous, c’est croire en nos potentiels, à notre intuition, aux capacités qui dorment encore en nous. Comme dans le conte de la belle au bois dormant, nous devons réveiller cette belle cachée, c’est à dire notre féminité et accomplir notre mission.

    Faire face à nos peurs, c’est découvrir une force, une puissance que l’on ne soupçonnait pas. Souvent, nous ressentons cette puissance au fond de nous, mais elle aussi, elle nous fait peur. Nous avons peur de ne plus pouvoir la contrôler. Comme si le fait qu’elle dorme en nous, nous permettait de la contrôler. Perdre le contrôle fait partie de nos grandes peurs. Pourtant,  il s’agit là d’un processus d’individuation, comme l’appelait C.G.Jung. Un fois ce processus éveillé, il se développe à l’intérieur de nous, il participe à notre transformation.

    21052838-1.jpgCe processus nous traverse en accord avec notre rythme de croissance. Et nous avons chacun le notre. C’est avec un infini respect qu’il se met en place. Il induit nos prises de conscience. Il nous permet de guérir nos blessures. C’est au fil de ces transformations que nous acquérons cette force et cela nous encourage à continuer. Notre confiance se développe peu à peu et nous sommes invités à nous transformer, à découvrir la belle personne que nous sommes, à trouver la paix de notre âme. Accepter ce dragon survenu en rêve, c’est accepter l’aventure intérieure qu’il propose au rêveur, à la rêveuse, c’est accepter de devenir le héros de sa propre vie. C'est dire OUI à la vie!

    Je vous souhaite des nuits paisibles et de merveilleux rêves.

    Chantal

    Pour des raisons de disponibilités, les dates du stage" Comprendre la symbolique de nos rêves" ont été repoussés

    au 08 et 09 décembre 2012 même lieu.

    Un stage sur la libération de la mémoire émotionnelle est programmé pour les 15 et 16 décembre 2012 Herrère, dans les Pyrénées.

     

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  • Les symboles dans les rêves

    Les symboles de nos rêves

    160-f-31076405-u2lhcgqvxpcserwx1omrzap2rr0yb9ew-1.jpgDans nos rêves, le symbole nous donne une piste pour comprendre le message que notre guide intérieur veut nous transmettre. Le décoder nous permet de reconnaître précisément sur quoi notre guide veut attirer notre attention. Parce que pour l’adulte que nous sommes devenus, c’est en pleine conscience que nous pouvons transformer, une attitude, un comportement, une croyance, une peur, une attente stérile, un sentiment de culpabilité, de honte ou un déni, qui ne nous est plus bénéfique.

    Par comparaison avec la symbolique du corps, le membre ou l’organe atteint nous renseigne sur la limite du supportable de notre corps. Il attire notre attention sur des symptômes pour que nous puissions effectuer les changements nécessaires.

    Dans nos rêves, les symboles attirent notre attention avant que la maladie ne se déclare. Ils jouent un rôle préventif. Ils nous indiquent non seulement le problème, mais aussi la résolution. Nous avons tous appris que s’il y a un problème, il y a une solution. Nos rêves, sont les messagers d’une profonde intelligence qui cherche à nous faire évoluer. C’est pour cette raison que nous pouvons faire confiance à nos rêves.

    Les symboles véhiculés dans nos rêves sont des archétypes, que nous retrouvons dans les contes et les légendes du monde entier. Notre inconscient personnel est en lien avec l’inconscient collectif. Il nous raconte l’histoire de notre problème, à la façon de la mythologie grecque ou judaïque, puisque notre culture a puisée dans les deux.

    Pour une meilleure compréhension, prenons l’exemple d’une personne que nous appellerons Marie : elle se voit tapotant la cuisse d’une amie, en maillot de bain.

    imagescajho3xh.jpgDans un premier décryptage, le symbole de la cuisse nous renvoie au mythe de Dionysos, qui sortit de la cuisse de Jupiter, son père. Cette histoire nous raconte une deuxième naissance et cela nous indique une naissance initiatique, faites par le père spirituel. Dans cette initiation, Dionysos a trouvé la force de vivre selon sa nature divine, c’est ainsi qu’il devint un dieu. En tapotant la cuisse de son amie, Marie cherche à renaître  pour éveiller sa nature divine.

    Dans un deuxième décryptage, son amie représente une part féminine d’elle-même, qui n’est pas encore identifiée, puisque elle la connaît, sans la nommer. La part féminine représente la réception de l’intuition et tout ce qui touche à la créativité. Il s’agit aussi de sa part d’ombre qui exprime sa personnalité selon le conditionnement de son enfance, de son environnement.

     160-f-27045592-hdc0llpyzyscans72nxtqzmjdrsyyumg-1-1.jpgDans le rêve son amie est en maillot de bain. Le bain signifie la purification, avec un maillot cela nous indique qu’elle cache sa sexualité. Celle-ci représente son énergie créatrice qu’elle retient. Parce que la nudité, dans un rêve représente l’authenticité, le vêtement, c’est le rôle que l’on joue dans la vie.

    En conclusion, le rêve de Marie lui dit, qu’il est temps pour elle de quitter le rôle qu’elle joue dans sa vie, ce comportement qui restreint sa créativité et qui lui vient d’un problème vécu dans son enfance. Elle a besoin, maintenant, de renaître pour devenir adulte et exprimer toute sa créativité. Et c’est dans cette renaissance qu’elle va trouver la force d’exprimer sa part divine.

    L’enfant, que nous avons été, n’avait pas de pouvoir. Il était obligé de subir son environnement. C’est avec ses comportements qu’il a essayé de se protéger. Et cela a dû être efficace à ce moment là. Malheureusement, ce comportement s’est imprimé, dans ce que nous appelons le cerveau limbique. C’est un cerveau qui contient notre mémoire avec tous nos souvenirs, nos émotions, le système nerveux périphérique et central. C’est grâce au système nerveux que c’est un cerveau automatique.

    Pour utiliser tout notre pouvoir d’adulte, nous devons transformer cette mémoire lorsqu’elle contient des interprétations, des préjugés, des croyances qui ne nous sont plus bénéfiques.  Et tous les comportements qui s’y rattachent, qui sont toujours efficaces. Cela nous demande donc d’être précis sur ce que nous voulons changer.

    Pensées ensoleillées

    Chantal

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    Voici les prochaines dates :

    Conférence et dédicace à la librairie Pégase le 3 octobre.

     Stage «  Comprendre la symbolique de nos rêves »  20 et 21 octobre à Floirac.  

      

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  • La rentrée

    160-f-27045592-hdc0llpyzyscans72nxtqzmjdrsyyumg-1-1.jpgComme chaque année, la rentrée nous amène toutes sortes d’incertitudes concernant l’avenir. Et cette année, la météo sociale n’est pas réjouissante. Cette énergie collective, circule comme une onde radio. Elle est empreinte de toutes les émotions négatives qui circulent aux sons des informations télévisées. C’est une énergie défaitiste qui nous affaiblit en nous enveloppant dans son voile d’ignorance et de doutes.

    Pour remédier à cette attraction démoralisante et conserver les biens faits de nos vacances. Ou pour rester concentrer sur nos bonnes résolutions, prenons le temps de nous reconnecter à notre être profond, notre sage intérieur. Quelques minutes par jour suffisent pour nous redynamiser.

    Cet exercice est simple. Il consiste à s’asseoir confortablement, le dos bien droit. La respiration est très importante, parce qu’en emplissant complètement nos poumons d’air, nous oxygénons immédiatement notre cerveau. Et lorsqu’il est bien oxygéné, il est plus performant.

    photo-brochure-perso-1.jpgPour cela, nous l’effectuons en deux temps. Pour commencer, videz complètement vos poumons en rentrant bien le ventre. Puis, en prenant votre inspiration poussez le ventre en premier, ensuite soulevez bien vos poumons en écartant bien les épaules. Répétez cet exercice plusieurs fois, si la tête vous tourne, continuez, c’est que votre cerveau n’était pas habitué à être aussi bien oxygéné. Cette sensation désagréable s’estompe très vite.

    En pratiquant cette respiration régulièrement, en plus de vous alimenter en oxygène vous emmagasinez une énergie vitale, vous la stockez, comme si vous rechargiez vos batteries.  Vous pouvez aussi  l’utiliser quand vous êtes fatigué ou avant de fournir un effort.

    Puis laissez votre respiration reprendre son rythme habituel, fermez les yeux et sentez le calme qui s’installe en vous. Imaginez un lieu de la nature que vous aimez et laissez-vous aller sans but précis, juste en savourant la paix qui règne dans ce lieu.

    Après, vous vous sentirez avec un regain d’énergie et les idées plus claires, comme si vos doutes avaient disparus. Cela ne demande que quelques minutes. Soyez généreux avec vous-mêmes, prenez soin de vous, sinon qui le fera ?

    N’oubliez pas de noter dans votre emploi du temps les activités, stages, ateliers, conférences ou séances qui vous intéressent.  

    21065275-1.jpgJe vous souhaite une bonne rentrée.

    Avec mes pensées les plus ensoleillées.

    Chantal

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  • Le message de nos rêves

    160-f-31076405-u2lhcgqvxpcserwx1omrzap2rr0yb9ew-1.jpgIl existe plusieurs sortes de rêves, les rêves prémonitoires, les rêves prophétiques, les rêves symboliques et les songes, les rêveries. Ces derniers sont  porteurs de nos souhaits, des désirs que nous n’osons pas exprimer. Tandis que les autres sont des rêves oniriques, ceux que l’ont fait la nuit. Tous sont porteurs d’un message, mais de façons différentes.

    Nos rêves oniriques ne sont pas le fruit d’une imagination délirante comme nous sommes parfois tentés de croire. Au-delà du labyrinthe de leurs intrigues, il y a une intelligence supérieure, une sagesse, une ingéniosité qui nous guide. Ils sont les messagers de cette intelligence. Qu’ils soient oniriques ou éveillés,  nos rêves sont envoyés par notre sage intérieur.

    Aujourd'hui, je veux vous parler des songes, des rêves qui expriment un projet, des rêves que nous jugeons parfois comme étant irréalistes. Pour différentes raisons nous les avons trouvés un peu utopique. Dans le langage courant on parle de châteaux en Espagne. Ces raisons cachent souvent un interdit inconscient. Parce que l'aspiration profonde qui sous-tent ces rêves n'a été ni validée, ni approuvée par nos parents et parfois ils s'en sont même moqués. Alors, notre cerveau limbique a imprimé une croyance qui, soit nous pousse à l'échec, soit qui nous paralyse. Derrière le jugement que nous portons sur ce rêve, se cache une souffance, une frustration, une dévalorisation, un manque de confiance en soi.

    160-f-30798135-07zwksl1ihflemyobcnjt7k3wi9zkbib-1-1.jpgNotre imagination a souvent été décriée par nos parents. Elle a été jugée comme fantasque, inconséquente, ou lunatique. Avec de telles croyances nous avons perdus le pouvoir de notre imagination créative. Car, c’est grâce à notre imagination que nous avons le pouvoir de créer notre vie selon nos aspirations profondes. Quelques fois nous sommes allés jusqu’à faire quelques tentatives pour concrétiser nos rêves, mais elles ont échouées. Là, encore se cache  l’interdit inconscient et en plus il a été confirmé par nos échecs. Je vois bien que ce n’est pas possible puisque je n’y arrive pas, donc, ce n’est pas pour moi !

    Notre imagination et nos pensées ont un pouvoir de création. Tout ce qui nous entoure, les objets, les bâtiments, tout ce qu’un être humain a fabriqué, tout a d’abord été rêvé, imaginé ! Tout commence par là. C’est bien la preuve que notre imagination tient un rôle important dans la réalisation de nos projets.

    Jean Charon, éminent physicien, écrivait qu’il y avait une onde qui voyageait plus vite que la lumière, qu’il avait appelé  « onde psy ». Cette onde avait la capacité de traverser nos esprits, d’en imprimer toutes les informations et de continuer ainsi leur trajectoire. (Jean Charon, Les lumières de l’invisible, Albin Michel, 1987). Ceci explique cette formidable source énergétique qui nous traverse et qui fait que nous sommes tous en lien les uns aux autres. Cette onde me fait penser à ce que nous nommons aujourd’hui la loi d’attraction et à la synchronie dont nous parle C .G. Jung.  

    Pour s’affranchir de nos interdits, il est nécessaire de chercher la piste originelle de la croyance qui les génère. C’est à dire, que nous pouvons retrouver l’émotion générée par un événement traumatique qui a amené l’enfant que nous étions à tirer une conclusion hâtive. J’appelle cette conclusion une équation parce qu’elle provient d’une déduction. Prenons l’exemple d’un enfant qui voit son frère ou sa sœur se blesser sous ses yeux ou se faire battre, la première impression sera de se sentir impuissant. Mais la déduction qu’il aura faite, peut être, je suis coupable de ne pas l’avoir sauvé. Dans ce cas là, son équation sera : quand je me sens impuissant(e) c’est de ma faute ! L’équation sera : impuissance égale faute.

    160-f-164586-dtuhjwyhm0otyr12lm4wp7ymoflm6o-1.jpgLorsque nous sommes porteurs d’un sentiment de peur, de culpabilité, nous allons souvent nous retrouver en situation d’échec à répétition. Parce que notre éducation a été basée sur l'équation suivante : une faute mérite une punition. Donc inconsciemment, chaque fois que nous nous sentons coupable, même si consciemment nous savons très bien que nous ne le sommes pas, nous allons nous auto-punir. De quelles façons ? En ne réussissant pas quelque chose, en perdant des objets auxquels nous tenons, en nous blessant ou en tombant malade.

    Certaines personnes croient qu’il ne nous est pas possible de déraciner cette croyance parce qu’elles essaient de le faire par la volonté. Cela ne marche pas ainsi.  Cependant, nous pouvons impressionner notre système limbique avec une image accompagnée d’une émotion. Le système limbique répondra positivement à cette nouvelle équation. Cette transformation est possible. Au début l’aide d’une personne formée à cette approche sera nécessaire. Ensuite, vous pourrez pratiquer cette déprogrammation seul.

    Depuis quelques années, Sophie et moi, nous avons accompagnées  de nombreuses personnes lors de stages de deux jours, intitulés « Oser être soi-même ». Au cours duquel, nous amenons les participants à découvrir leurs potentiels, à se libérer de leurs interdits et à mettre en place plan d’action très précis sur un projet particulier. A ce jour, nous avons eu des nouvelles très positives concernant les projets des anciens participants. Je vous convie à une conférence:

     le jeudi 28 juin à Bordeaux, salle  Terre Unie Vers, place Nansouty, à 20H, entrée 5€.

    Lors de cette conférence, Sophie vous parlera du Bateleur et du Chariot, deux arcanes du Tarot qui évoquent l'élan créateur. Elle vous calculera et vous expliquera votre arcane de personnalité et celui de vos atouts, ces arcanes du Tarot vous révèlent vos potentialités positives et sont vos aides à votre ressourcement.

    Quant à moi, je vous parlerai du pouvoir de la libération de la mémoire émotionnelle, pour transformer vos interdits. Et je répondrai à toutes vos questions.

    21032940-1-1.jpg Le stage "Oser être Soi-même"   aura lieu les

    7 et 8 juillet à Floirac,

     

     

     A bientôt

     Avec mes plus chaleureuses pensées

    Chantal

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  • Entre veille et sommeil

    earth-and-moon-1.jpgSystèmes orthosympathique et parasympathique

    Ce sont des systèmes bis phasiques qui régulent le rythme de l’alternance entre veille et sommeil. La vagotonie stimule notre tonus (système orthosympathique) chaque fois que nous devons être performants. Ce que nous appelons aussi parfois être dans un stress positif. L’orthosympathique active le système hormonal pour qu’il sécrète, adrénaline et cortisol, dont nous avons besoin pour être en état de veille. C’est à dire pour agir, pour travailler, faire du sport, pour faire l’amour, pour créer.

    Le système parasympathique nous conduit en phase de repos.  De sommeil, mais pas seulement. Ce système active et stimule, entre autre, la production d’acétylcholine. Au fil des nuits et des moments de repos, nous sommes en phases de récupération. Le repos se compose aussi de ces moments que nous nous accordons à ne rien faire. Les vacances, les jours de congés, sont destinés à cet état. Ils nous permettent de retrouver le calme, la paix, dont nous avons besoin pour nous ressourcer, pour reconstituer notre énergie. Afin de repartir au travail en pleine forme. Souvent mal compris, ce temps de repos est utilisé dans diverses activités. Ce qui fait dire à certains au retour de vacances qu’ils sont encore fatigués.

    L’alternance, entre ces deux phases actions et repos, est primordiale pour maintenir un bon équilibre et assurer une bonne santé à notre organisme. Malheureusement, il y a une croyance assez répandue qui parle du stress positif par opposition au stress négatif. Mais peu importe, qu’il soit négatif ou positif, un stress reste un stress. Il stimule et active nos hormones destinées à nous maintenir en état de veille. Ainsi il bloque celles destinées à nous permettre de récupérer.

    La personne qui sollicite ainsi trop souvent son système orthosympathique expose son corps, qui a un besoin fondamental de repos, à déclencher une maladie, dans le but d’obliger la personne à se reposer. C’est le seul moyen que le corps possède pour se faire comprendre. C’est pour cela que parfois on commence ses vacances par être malade. Dans ce cas là, le corps cherche d’abord à récupérer, parce qu’il sait que les prochains jours ne vont pas être de tout repos !

    ff-0192-1-1.jpgLa tendance actuelle, qui consiste à être constamment actif, même en période, de dite de repos, comme les jours de congés où l’on s’occupe avec diverses activités  peut devenir un handicap, si on ne respecte pas un équilibre entre ces deux phases. Faire du sport permet de fortifier notre état musculaire et d’éliminer les toxines emmagasinées lors des phases de travail où l’on s’est mis la pression ou même du stress positif. Les distractions aussi sont nécessaires, elles nous procurent joie et plaisir. Ce qui participe à maintenir une bonne santé. Mais notre société, stimule notre hyper activité en permanence. Et certains oublient trop souvent que le repos, qui consiste à ne rien faire, est une nécessité vitale pour notre organisme.  

    relaxing-1.jpgVoilà pourquoi la méditation, la relaxation, la rêverie, sont indispensables pour nous permettre de récupérer notre énergie perdue. Parfois, ceux qui pratiquent cette formule, se sentent coupables. Elles pensent que cela dénote un problème chez elles. C’est faux.

    La première question à se poser, après avoir reçu le diagnostic du médecin, et son traitement, c’est : Qu’est-ce que cette maladie m’empêche de faire ? Est-ce qu’elle m’empêche de marcher, de conduire, de faire du sport, de partir en vacances, de travailler ? La réponse à cette question contient la résolution au problème qui a généré la maladie. Dans ce cas, la première chose à faire c’est de rester tranquille, afin de permettre à son corps de récupérer. Les autres questions apporteront des pistes plus précises sur le mal être émotionnel qui nous affecte.

    Ensuite, s’il s’agit du travail, qui ne nous procure plus aucun plaisir, s’il ne suscite plus d’intérêt pour nous, alors c’est qu’il est temps d’en changer. D’autres parts, certaines personnes me disent, mais j’aime mon travail, c’est ma passion. Certes, c’est une bonne chose, mais le danger peut aussi venir de là. Est-ce que je n’en fait pas trop ? Est-ce que ma passion ne m’empêche pas d’écouter mon corps, qui lui a un rythme à respecter ? Ou bien est-ce avec une personne en particulier que ce trouve le malaise ? Tout cela est à prendre en compte.

    Notre envie, notre désir, ne tient pas toujours compte du besoin fondamental de notre corps. Le désir, s’il n’est pas structuré, peut devenir un despote. Un désir peut se reporter, un besoin non. Exemple : je désire manger de chocolat, je peux reporter mon désir à un autre moment, cela ne met pas ma vie en danger. J’ai envie de boire, si je ne le fais pas je peux me déshydratée. Je ne peux pas reporter ce besoin trop longtemps, parce que boire c’est vital pour mon corps, manger du chocolat, non.  

    p1050050.jpgRendez-vous Lundi 21 mai à 20h30 à la Salle municipale Cap de Bos,  47 avenue des Provinces à Pessac.

    pour une conférence: La symbolique du corps humain. Je répondrai à vos questions.

    Bonnes détentes  et bonnes réflexions.

    Chantal 

     

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  • Trouver la résolution à son problème

    160-f-164586-dtuhjwyhm0otyr12lm4wp7ymoflm6o-1.jpgJ’ai remarqué que dans la recherche de la problématique qui a généré les maux du corps, comme des malaises ou une maladie, certaines personnes s’arrêtent au fait de trouver la piste. Elles ont pris ainsi conscience des sentiments ou des émotions qui étaient en causes. Mais ajoutent-elles, les maux n’ont pas disparus. Parce que  la piste ne nous donne pas la résolution du problème. Elle nous indique la problématique qui a générée les maux. Jusque là nous avons fait la moitié du chemin vers la guérison. Il nous reste encore à transformer l’attitude, le comportement qui se cache derrière nos émotions. Ce comportement est lié à une conclusion que nous avions faite autrefois, lorsque nous avons vécu une situation similaire pour la première fois. Cette conclusion a crée une stratégie de comportement. C’est cette conclusion que nous devons transformer pour trouver une nouvelle stratégie de comportement. Par exemple :

    160-f-6571398-5kgycgbydsg1engfkjg8p7bfryswisme-1.jpgMarie se blesse l’index  de la main droite en épluchant des légumes. Dans un premier temps, Marie doit soigner sa blessure. Ensuite, elle va se poser la question : à quoi pensais-je juste avant de me blesser ? Si elle ne s’en souvient plus, elle va chercher les pistes. Il s’agit de sa main droite. Le côté droit symbolise le côté masculin, la main représente le faire, l’index symbolise l’autorité. Le fait qu’elle se soit fait mal nous indique qu’elle a eu un sentiment de culpabilité, parce que celui-ci nous amène, à chaque fois, à nous auto-punir inconsciemment en nous faisant mal.

    Puis les questions seront : était-elle seule, si non, de quoi parlait-elle avec cette personne ? Quel était le sujet de leur conversation à ce moment là. Le fait que ce soit l’index qui soit touché, nous donne la piste que leur conversation tournait autour d’une autorité. Que Marie soit seule ou pas, peu importe. Prenons l’exemple qu’elle se souvienne effectivement de ce qu’elle pensait.  Il s’agissait de sa mère qui lui reprochait sans cesse sa façon de faire les choses. Sa mère était une femme très autoritaire, voir autoritariste, qui lui disait qu’elle ne savait pas éplucher les légumes. Cette mère critiquait tout ce que faisait Marie, ce n’était jamais assez bien. Nous avons trouvé la cause du problème de Marie, mais nous n’avons pas trouvé sa résolution. Pour cela Marie doit aller encore plus loin dans ses investigations, car elle seule est capable de trouver sa résolution, nous ne pouvons pas le faire à sa place.

    Nous savons maintenant  que Marie pensait à sa mère qui lui reprochait sa façon de faire les choses. Donc la mère de Marie culpabilisait souvent sa fille. Donc Marie était habitée par un sentiment de culpabilité. Nous savons que celui-ci nous amène à nous auto-punir inconsciemment. Donc c’est la croyance sur laquelle se base ce sentiment qu’il nous faut transformer. Je m’explique : Marie a cru, quand elle était enfant, qu’elle ne faisait jamais assez bien les choses, qu’elle était mauvaise ménagère. L’enfant en elle avait conclu qu’elle était incapable de faire quelque chose de bien. Aujourd’hui Marie est bien consciente que son sentiment de culpabilité vient des critiques de sa mère. Et celle-ci continue encore. Marie a compris qu’elle se sent coupable et pas capable. Mais de le savoir ne change rien. Parce que son sentiment de culpabilité s’appuie sur une croyance, celle de ne pas être capable. C’est cette croyance que Marie doit changer pour sortir du sentiment de culpabilité.

    Bien sûr que l’adulte qu’elle est devenue sait bien qu’elle est capable, c’est l’enfant en elle qui en doute. Et qui l’amène parfois à douter d’elle-même. L’enfant intérieur est une représentation symbolique d’un aspect, d’un comportement devenu inconscient,  parce que nous l’avons oublié, mais il agit encore parce qu’il est automatique. Il voile la vision que nous avons de nous-mêmes, des autres ou d’une situation.  

    160-f-24242082-q2ef1jtxnmxmgf4syv0w8bnexvhtdtgu-1.jpgC’est cette vision qui nous est néfaste, car elle n’est plus adaptée à l’adulte que nous sommes devenus. En changeant cette vision, nous sortons de notre problématique. Certes, la mère de Marie croyait bien faire en critiquant sa fille, elle croyait qu’ainsi elle aidait sa fille à s’améliorer. Elle se trompait. Cette attitude ancre une mauvaise image de soi. Parce que d’une part l’enfant prend tout ce que dit son parent pour vrai. D’autre part, l’enfant est maladroit, c’est normal c’est un enfant, il ne peut pas faire les choses aussi bien qu’un adulte. Ce n’est qu’avec le temps qu’il va s’améliorer et les encouragements de ses parents vont lui permettre de croire en son potentiel et lui permettre d’augmenter sa confiance en lui. L’enfant a besoin de ces encouragements parce la confiance en soi n’est pas innée, elle s’acquière au fil du temps en s'appuyant sur nos réussites.  

    Pour que  Marie sorte de son sentiment néfaste, elle doit retrouver son enfant intérieur et dialoguer avec. Elle doit lui expliquer que leur mère n’avait pas raison, qu’elle se trompait. N’étant qu’une petite fille elle ne pouvait pas être aussi adroite qu’un adulte parce qu’il nous faut accepter une période d’apprentissage. Cependant,  comme elle progresse chaque jour, elle arrive de mieux en mieux à faire les choses. Et que la grande  Marie est très fière de la petite. Ainsi Marie ne se sentira plus ni coupable, ni pas capable de ne pas faire aussi bien que sa mère. Et elle acceptera de passer dans une période d’apprentissage avant d’acquérir une dextérité dans un domaine quelconque.

    photo-site-blog-1.jpgUne jeune maman me demandait comment faire avec les enfants et même avec les bébés, qui ne peuvent pas parler ? Dans ces cas là, nous allons procéder autrement. Puisque l’enfant n’a pas les mots pour dire ce qu’il ressent, même s’il sait parler. C’est l’adulte qui doit formuler le ressenti avec des mots. Prenons l’exemple de cette jeune maman, son bébé fait des poussées d’eczéma chaque fois qu’elle s’en va. La maman a comprit qu’il s’agit d’un conflit lié à leur séparation, mais elle ne sait pas quoi faire. Elle est bien obligée d’aller travailler. Alors, elle va parler à son bébé ou à son jeune enfant en le regardant dans les yeux. Elle va lui dire qu’elle comprend ce qu’il ressent, qu’il lui manque quand ils sont séparés, que ce n’est pas de sa faute à lui, il n’y est pour rien. Qu’elle est triste et qu’elle pense à lui. Ensuite, elle lui dira que dans la vie on ne fait pas toujours ce qu’on veut et que parfois on est confronté à une situation qu’on ne peut pas changer. Cela nous fait vivre, du déni, je ne voulais pas ça.  De la colère, ce n’est pas juste. Du chagrin, je suis triste et je crois que si je me comporte autrement, je vais pouvoir changer les choses. Mais non, je n’ai pas ce pouvoir, personne ne l’a. Mais pour pallier à cela elle peut lui dire qu’elle le confie à une ou des personnes en qui elle a confiance et qu’elle va revenir bientôt le chercher.

    Là, il s’agit de faire le deuil d’une situation qu’on aurait aimé avoir, mais qui ne se réalise pas. Nous devons tous, même les bébés et les enfants, finir par accepter la situation que nous vivons telle qu’elle est. Dans ce cas, la maman aussi a un deuil à faire. C’est le processus par lequel nous passons pour finir par accepter. Parler à son enfant, c’est accepter de le rassurer. Il comprend que sa mère ne l’abandonne pas, qu’il n’est pas  coupable, il va devoir trouver sa façon à lui de gérer sa frustration. Et il en est capable.

    Restons confiant.

    N'oubliez pas la conférence du jeudi 28 juin  "Oser être soi-même" à Terre Unie Vers (anciennemnt Terre de Femmes) qui sera suivi du stage les 7 et 8 juillet prochain à Floirac.

    A bientôt Chantal

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  • Les maux de dos

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                                                         Le dos

    Tout ce qui touche à l’ossature me parle de dévalorisation, de problème avec l’autorité, surtout avec l’abus d’autorité et ma difficulté à être ma propre autorité. Selon la zone touchée, cervicales, dorsales, lombaires, sacrum ou coccyx, en prenant les vertèbres qui me font souffrir, je vais pouvoir cibler précisément les émotions, les sentiments qui sont en lien avec elles. D'une manière générale, les maux de dos sont en lien avec les tensions, les pressions que je m’impose dans la vie.

    Le coccyx, situé à la base de la colonne vertébrale, représente la base sur laquelle je m’appuie pour avancer dans la vie. Cela signifie que dans le passé, l’enfance peut-être je n’étais pas en sécurité face à mes besoins de bases. J'ai peut-être manqué de nourriture, de vêtements, d'une maison.

    Quand je souffre du coccyx ou que je me fais mal à cet endroit, c’est que je doute de mes capacités, des forces que je possède, de mon potentiel et j’ai peur de l’avenir. J’ai peur de ne pas pouvoir assurer mes besoins de bases, comme avoir un toit sur ma tête, assurer la nourriture journalière, tout ce qui est nécessaire à ma survie. Et je laisse la peur m’envahir, je la laisse me faire voir le pire des scénarios. Justement celui que je ne voudrais pas voir arriver.

    Malheureusement, c’est un cercle vicieux. Plus j’ai peur, plus j’imagine le pire, plus j’attire ce pire. La première chose à faire c’est de sortir de la peur. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la première étape c’est de regarder sa peur en face. Parce que bien souvent, on se dit à soi-même : non! Je n’ai pas de raison d’avoir peur! Mais la raison n’a rien à voir avec une émotion et la peur est une émotion. Dans ce cas là, la raison vient nier l’émotion, mais que je le veuille ou non, j’ai bien ressenti cette émotion. Donc qu’est-ce que j’en fais ?

    photo-brochure-perso-1.jpgInstallez-vous confortablement, respirez profondément, laissez le calme s'installer dans votre corps et votre esprit.

    Souvent, les rêves, qui accompagnent ces périodes, sont des rêves de poursuite. Ils nous indiquent que l’on fuit quelque chose qui nous fait peur. Le conseil, c’est d’accepter : oui j’ai peur, la situation que je vis actuellement me fait peur ! Se laisser pénétrer par cette peur, puis tout en étant dans la peur, se poser cette question : de quoi ai-je peur ? Donnez-lui un nom. Laisser les images, de ce pire, montées.  Formuler le nom de la peur à haute voix. Ensuite, demandez-vous que puis-je faire pour sortir de cette situation ? Attendez un peu que des idées, d’autres images vous viennent. Puis décider d’agir en fonction de ces nouvelles images et visualisez-vous dans l’action. Voyez-vous en train de réussir, d’être dans l’abondance. Voyez l’argent rentrer. Puis voyez-vous en train de payer le loyer et de remplir le frigo, de faire les choses qui vous sécurise  et remerciez l’univers, votre ange ou votre guide intérieur pour tout ce que vous avez reçu dans le passé, tout ce que vous recevez maintenant et pour tout ce que vous allez recevoir à l’avenir. Voyez-vous comme si vous étiez sorti de la mauvaise situation et laissez-vous aller dans la nouvelle situation, avec joie et plaisir.

    guidance-1.jpgCette visualisation est très efficace, elle permet d'attirer à nous, ce dont nous avons besoin. Elle doit s'accompagner de la joie, de la satisfaction d'avoir réussi, du plaisir de recevoir. De la foi en la synchronie. A utiliser sans modération.

    Il s'agit là d'un premier travail, car la plupart du temps, cette peur s'appuie, comme je le disais plus haut, sur une expérience déjà vécue dans le passé. Pour en sortir une fois pour toute, il est nécessaire de déprogrammer le traumatisme d'origine 

    Nos émotions, qu'elles soient positives ou négatives sont avec l'imagination nos meilleurs outils pour progresser, pour nous transformer.

    Ensuite, il est nécessaire de passer à l'action. Bien sûr lorsque l'on est en crise, la première chose à faire c'est de prendre les médicaments prescrit par le médecin. Puis, sur le plan psychologique, on a besoin de quelqu'un pour nous aider, pour nous guider dans ces étapes, pour effectuer cette transformation. C'est dans cet esprit que Sophie et moi avons mis au point le stage de cet été.

    "Oser être soi-même" qui aura lieu, les 7 et 8  juillet 2012 à Floirac.

    "Comprendre la symbolique de nos rêves" 17 et 18 mars 2012 à Floirac.

     Que la grâce vous accompagne.

    Chantal

    Inscription au: 05.56.74.71.09 ou chantal_feugnet@yahoo.fr

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