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  • Joyeuse fêtes

    Bonjour à tous et bon Noël,

    Nous voici déjà arrivés à la fin de l’année 2015. C’est le temps des fêtes, de la convivialité, des partages, des échanges. Un temps aussi pour faire le bilan de l’année écoulée et de vérifier si nous avons bien réalisés tous ce que nous voulions faire en début d’année. J’ai observé que souvent j’avais réalisé la plus part des souhaits que j’avais écris sur ma liste.  

    Pour les projets qui n’ont pas été au terme, on peut, lâcher nos peurs et se poser la question sur nos véritables motivations ? Sur l’énergie que nous y avons consacrée ? Sur le meilleur plan d’action que l’on pourrait mettre en place à l’avenir pour parvenir à réaliser ce projet ? Ou encore de savoir si nous avons encore envie de mettre de l’énergie dans ce projet ? Et aussi est-ce juste de faire ainsi ? Et puis lâcher-prise et se concentré sur le présent pour en savourer tous les plaisirs.  

    L’année prochaine sera une année de réflexion, de patience, d’introspection, de mesure, de mise en lumière sur les causes profondes qui génèrent telle ou telle situation et sur l’orientation que nous voulons prendre pour notre vie. Regardons tous ce que la vie nous a envoyés  jusqu'à présent de beaux, de bons et de réussites.  Cela va nous préparer pour élaborer nos plans d’actions pour les nouveaux projets qui nous inspireront en 2016.

    Je vous souhaite de beaux partages dans des actions qui procurent un sentiment de satisfaction, de joie, dans la solidarité, l’échange, l’empathie et le succès. Parce que tous ces sentiments nous font ressentir l’estime de soi et nous procurent le courage et l'énergie nécessaire pour avancer.

    Avec mes plus belles pensées

    Chantal

  • Comprendre ce qui nous empêche d'être heureux

    Comprendre ce qui nous empêche d’être heureux.

     

    Nous avons au cœur  de notre cerveau un système appelé système limbique. Bien connu des publicitaires, cet espace conserve et classe toutes expériences ou images ressenties comme agréables ou désagréables. Les publicitaires ont développé divers moyens, très efficaces, afin d’impressionner et d’influencer cette partie de notre cerveau, à notre insu. Avec l’objectif de nous faire consommer des produits présentés comme des besoins. Il faut savoir qu’un besoin c’est quelque chose de vital, il ne peut se reporter, alors qu’un désir si. A ne pas confondre !

    Pour le système limbique, ce qui est agréable est à renouveler, tandis que ce qui est désagréable est à éviter. Il contient en autre, nos mécanismes, dit, de survie. Ce qui veut dire que chaque fois que je vis une expérience qui évoque un souvenir, dont je n’ai plus conscience, quel qu’il soit, je vais me comporter automatiquement comme cette première fois. Autrement dit, le système limbique joue un rôle très important dans nos modes de comportements. Il est relié au centre émotionnel et selon l’orientation de celles-ci, il nous pousse dans un comportement spécifique, mais oublié.

     

    Ce que j’appelle « La libération de la mémoire émotionnelle » est un atelier qui a pour but de débusquer ces comportements que nous utilisons de façon automatique, donc inconsciente.  Afin de comprendre pourquoi je me comporte ainsi et pourquoi cela est relié à une souffrance. Dans le but de transformer ce comportement (souvent infantile) par un autre plus adapté à l’adulte que je suis devenu.

    Ainsi je prends conscience du pouvoir que j’ai aujourd’hui en tant qu’adulte et de mes capacités à réussir mes projets de vie. Je peux changer ma vie. Je ne subis plus les influences extérieures, j’agis en conscience, en pleine possession de mes moyens. Je peux prendre ma place, m’exprimer sans frein, gérer mes besoins et donner vie à mes désirs, mes rêves enfouis, oubliés, à ma créativité.

    Durant trois jours, nous allons rechercher ensemble quels sont les liens que l’on peux faire pour vous libérer de ce qui vous préoccupe et qui vous fait le plus souffrir actuellement. Le groupe constitue une force énergétique qui sert de levier émotionnel. Cette énergie apporte aussi un soutien, un réconfort, qui met en confiance et qui participe à une réparation de nos blessures. Ensuite j’accompagne chacun dans la transformation nécessaire à sa libération.

    Pour cela nous allons imiter les publicitaires. Avec les images, les émotions, qui jaillissent de notre mémoire, nous entrons dans le système limbique en conscience. Avec un but bien précis, celui de changer l’interprétation, la façon de voir de l’enfant ou l’adolescent, que nous avons été. Et qui ne nous est plus bénéfique aujourd’hui.

    Ainsi chacun va prendre conscience des croyances qui habitent son inconscient  et trouver une nouvelle compréhension de la situation. Ce qui entrainera une nouvelle façon de se comporter dans des situations similaires à l’avenir. Ce travail est vécu  comme un soulagement qui s’opère à l’intérieur de la personne. Il s’agit d’une libération des tensions générées par le souvenir traumatique. Ce soulagement est visible physiquement, notre corps tout entier et notre visage irradie une nouvelle énergie. Ceci est souvent constaté et partagé par les autres participants.

     

    J’animerai un séminaire de « Libération de la mémoire émotionnelle » les 23.24.25 octobre 2015. Au centre Quintessence à Gradignan (33).

    Le groupe sera constitué de moins de 10 personnes.

           Vous trouverez dans la page « évènements à venir» située en haut, à droite de votre écran. Dans l’onglet « Séminaire de libération de la mémoire émotionnelle », une fiche d’inscription à télécharger et à m’envoyer à l’adresse indiquée accompagné d’un chèque d’acompte de 80€ qui ne sera encaissé qu’après le séminaire.

    Avec mes plus belles pensées

    Chantal

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  • Parler aux bébés

    Parler aux bébés

    Déjà à son époque Françoise Dolto parlait aux bébés dans les bras des mamans qui venaient la consulter. Aujourd’hui, de plus en plus de personnes parlent aux fœtus dans le ventre de la maman. Certaines sagefemmes font un lien avec des remontées émotionnelles durant la grossesse et après l’accouchement. Autrefois on ne comprenait pas toujours les dépressions post-natales. On croyait encore que l’instinct maternel était inné chez les femmes.

    Aujourd’hui les croyances ont évoluées. Certains chercheurs ont découvert que l’instinct maternel n’était pas inné mais acquit. Par exemple, le poulain doit marcher dans les 30mn qui suivent sa venue au monde, sinon il meurt. Dans ce cas marcher est inné pour les chevaux, c'est-à-dire qu’ils savent marcher avant de naître. Tandis que l’humain ne marchera qu’à partir d’un an ou plus. On dit que pour un humain marcher c’est acquit. En fait, l'instinct maternnel se déclenche lors des contractions durant l’accouchement et parfois les montées de lait aussi. Il s’agit d’un processus qui se met en place naturellement, mais sous certaines conditions. En cas de césarienne par exemple on peut aider ces mamans à stimuler leur organisme.

    Malheureusement, ce processus n’est pas toujours expliqué aux jeunes mamans et elles se demandent pourquoi leurs sensations et leurs réactions ne sont pas celles qu’elles croyaient et que leurs entourages attendaient. Ils ne comprennent pas leur attitude. Ce manque d’information les font se sentir "pas normale" ou  « coupable » ou encore «  mauvaise mère ». Ce qui augmente leur fatigue physique et psychique. Elles ont l’impression de tomber dans un puits sans fond. Ce n’était pas ainsi qu’elles avaient envisagé leur maternité.

    J’entends parfois des personnes dirent qu’un tel chouchoute trop sa compagne qui est enceinte. Parce qu’autrefois on disait que : «  être enceinte n’était pas une maladie » et certaines femmes travaillaient jusqu’au dernier jour. C’était une autre époque. Aujourd’hui la vie dans notre société à changer. Avec la pollution les jeunes mamans sont plus fragiles, et nous savons que le fœtus ressent les mêmes choses que sa maman. Et que cela peut avoir une incidence sur le futur adulte qu’il va devenir.  

    Donc ces jeunes mamans doivent faire attention à leur santé physique et psychique. Et parfois, si leur venue au monde ne s’était pas bien passé, leur mémoire émotionnelle aura enregistré des souffrances. Celles-ci peuvent se manifester sous formes de réminiscences et le mal être du passé refait surface. La situation fait que ce mal-être arrive sans qu’elles en comprennent l’origine. Surtout si elles ne savent pas dans quelles conditions elles sont venues au monde. Certains parents, croyant bien faire, cache à leurs enfants ce genre de choses. Malheureusement, ces non-dits familiaux ne les aident pas à comprendre ce qui se passe à présent dans leur vie.

    La parole libère. Elle permet de comprendre, d’intégrer, de prendre conscience, de mettre en place le puzzle dans notre imaginaire. C’est une première étape. Ensuite, si la personne a vécu des traumatismes dans son passé, même très lointain, une transformation sera nécessaire pour se libérer complètement et éviter les répétitions générationnelles. Une aide psychique et psychologique sera peut-être nécessaire.

    Profitez bien de cette période de vacances dédiée au repos, aux plaisirs, à la vie et à la joie de vivre.

    Je vous rapelle que les 8 et 9 août j'animerai un stage sur

    " Comprendre la symbolique de nos rêves" au CentreQuintessence à Gradignan.

    Il reste des places profitez-en pour vous inscrire! 06.67.56.94.99

    Au plaisir de vous rencontrer

    Pensées d'amour et de partage

    Chantal

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  • Le déménagement

    Le déménagement

    la_46_tram.jpgChangement d’appartement, changement de lieu. Voici une nouvelle étape dans ma vie et j’en ai connu de nombreuses.  Depuis 1998, j’habitais à Lormont, ville de la communauté urbaine de Bordeaux. J’avais choisi cette ville après avoir divorcé. Située à quelques minutes du centre de Bordeaux, elle avait l’avantage d’avoir gardée un petit air de campagne, qui me plaisait bien. Depuis quelques années, le tram et les infrastructures de son environnement ont modifiés mon havre de paix.

    J’ai choisi de m’en éloigner et d’aller vivre dans un lieu qui inspire les vacances à beaucoup de bordelais, le Bassin d’Arcachon. Située presque au cœur du bassin, Audenge nous offre l’air marin, les pins, les cigales et un rythme de vie plus apaisé, qui m’inspire davantage. Les cabanes tchanquées, comme nous les appelons ici, représentent symboliquement le Bassin. Vestige du temps où les pêcheurs qui étaient surpris par le mauvais temps pouvaient se réfugier sur l’île aux oiseaux située au milieu du Bassin.

    Cabanes tchanquees avec l eauCependant, même si on le choisi, le changement nous bouscule parce qu’il nous immerge dans un processus de stress et de deuil. Le déménagement, sur l’échelle du stress se place autour du plus haut degré. Il existe deux sortes de stress : le positif et le négatif. Le stress négatif est bien connu, parce qu’il nous plonge dans les états très désagréables du deuil.  Souvent causé par un changement de situation non voulu et parfois imposé lors d’un choc.

    Tandis que le changement choisi nous parait plus agréable puisqu’il s’agit d’une situation que nous avions projetée depuis quelques temps déjà et qui nous procurait plaisir et satisfaction. Et pourtant, là aussi il s’agit d’un deuil. Nous devons laisser derrière nous des aspects agréables de notre quotidien. Un tri s’impose à nous, nous allons devoir nous séparer d’objets, de linges de toutes sortes, que nous aimions, même si on ne s’en servait plus. Sans parler des personnes auxquelles nous étions attachés et que nous ne reverrons probablement plus.

    Les étapes du deuil ont été découvertes par Elisabeth Kubler-Ross, à la fin de la dernière guerre,  psychiatre de formation, elle a beaucoup œuvré dans l’accompagnement au mourant. Elle définit ce processus en cinq étapes ou états d’âme, états d’être. Ils peuvent être dans le désordre, sauf le dernier. Nous pouvons observer le déni, c'est-à-dire que la personne, qui se trouve dans cet état, refuse de reconnaître la réalité, de voir ce qui se passe réellement. Elle ne réalise pas ce qui vient de se passer, elle agit comme si cela n’existait pas. L’expression usuelle est : Non ! Ce n’est pas possible !

    Mer dechainee 2Ensuite peut venir la colère : C’est pas juste ! Pourquoi maintenant ? Pourquoi cela m’arrive à moi ? Je ne suis pas prête. Durant cette période, tout nous agace, la moindre contrariété nous rend agressive, nous râlons à propos de tout et de rien. C’est le dérangement, les évènements qui ne se passent pas comme prévus qui nous agressent et qui nous font adopter une attitude de défense permanente. Sans s’en rendre compte nous pouvons devenir agressives envers ceux qui nous entourent.

    L’abattement : c’est la tristesse qui nous habite alors. Le chagrin prend le dessus et nous avons envie de pleurer presque sans arrêt. Parfois, nous pouvons confonde cette étape avec une dépression, parce que notre société ne veut pas reconnaître la nécessité de traverser ces étapes. Elles sont indispensables à notre évolution, dès le plus jeune âge nous y sommes confrontés. Le bébé passe par le sevrage du sein de sa mère et très vite d’autres situations viendront perturber son environnement.

    Le marchandage, dans cette étape nous pouvons penser : Et si j’étais venue la ou le voir plus souvent… Et si….Et si …Tout y passe tant que nous ne réalisons pas que de toutes façons, que l’on se soit comporté comme on veut, de n’importe quelle manière, ce ne sera plus comme avant. C’est une étape où l’on se sent coupable. Jusqu’au jour où nous acceptons la nouvelle situation. Nous sommes alors entrés dans la dernière étape, celle de l’acceptation. A ce moment là, notre dynamisme et l’inspiration avec des idées nouvelles reviennent.

    Petit port de la teste 5Parfois, nous pouvons rester bloquer dans une de ces étapes. Ce qui va nous permettre de nous en rendre compte, c'est  que malgré un grand nombre d'années, nous pleurons encore en parlant du défunt. Le temps qu’il nous faudra pour sortir de ces étapes sera variable selon le degré du deuil à faire. Court ou long, à chaque fois qu’un changement surviendra dans notre vie, nous aurons ces étapes à traverser. Le savoir et les reconnaître nous permettra de moins nous inquiéter sur notre état de santé mentale et d’en sortir plus rapidement.   

    Je vous informe qu’à partir du 5 mai 2015, je reçois en consultation individuelles une fois par semaine à Gradignan au centre Quintessence et les autres jours à Audenge.

    Voici ma nouvelle adresse :

    6, rue Victor Hamm,

    résidence les mimosas, Bt B apt 2,

    33980 Audenge.

    Tél: 06 67 56 94 99

    Avec mes plus chaleureuses pensées

    Chantal

      

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  • Découvrir le pouvoir de nos émotions

    Découvrir le pouvoir de nos émotions sur le corps

    Th 2Les nouvelles découvertes sur les capacités de notre cerveau nous confirment l’impact de nos émotions sur notre intelligence, mais pas seulement. Elles ont aussi une influence sur nos relations affectives, professionnelles, amicales, ect. Et même sur notre corps et le fonctionnement de nos organes. L’approche thérapeutique que j’utilise depuis une vingtaine d’année, dit à peu près la même chose. Mais depuis les récentes découvertes sur la plasticité de notre cerveau, cette vision humaniste de l’individu semble se confirmer.

    Notre capacité d’empathie jouerait un rôle plus important que nous le pensions jusque là. Le phénomène est fabuleux parce que,  en me regardant simplement boire, me remplir un verre ou accomplir des gestes simples, dans votre cerveau les mêmes zones s’allument. Et cela,  même si vous ne bougez pas. C’est capital en psychologie. D’abord, cela veut dire que vous m’avez identifié comme un être humain et semblable à vous, à qui vous pouvez faire confiance. Parce que vous comprenez ce que je fais, vous pouvez entrer en empathie avec moi. Vous comprenez mon intention, donc mon désir. Que vous le vouliez ou non, votre cerveau se met en état de vous faire adopter la même envie.

    Dans notre apprentissage, nous sommes poussés à imiter celui qui possède la connaissance. Nous connaissons tous les contagions au niveau des fous rires, des bâillements. Notre cerveau est disposé à imiter lorsque cela l’intéresse. Cela explique qu’il soit plus facile d’apprendre lorsque le sujet nous intéresse. Cela explique également la rivalité, car ce que notre cerveau voit faire, il veut se l’approprier. Autrefois, les scientifiques avaient découvert les différentes aires cérébrales dans le cortex préfrontal, les plus célèbres sont : l’aire de la parole, aire de Broca et aire de Wernicke. Cette cartographie était assez mécaniste. La pensée Cartésienne continuait de croire que le néocortex volontaire était le centre ontologique de l’individu. La pensée volontaire avait le pouvoir absolu.

    Ces récentes découvertes mettent en lumière les deux aspects conscient et inconscient de notre cerveau. Les mécanismes, dont celui de survie, sont assez primaires. C'est-à-dire, qu’ils ne réfléchissent pas, si le besoin est urgent j’agis spontanément pour obtenir la concrétisation de ce besoin. Par exemple, si j’ai un besoin urgent (dans le sens de vital) de boire, je vais me précipiter sur la première source d’eau, en oubliant les formules de politesses.

    Ces découvertes pointent l’importance du cerveau émotionnel : le système limbique est situé au-dessous du cerveau cortical et toutes les passerelles neuroendocriniennes font de ce vieux système mammifère le régulateur de notre vie psychique. D’où l’importance donné au quotient émotionnel. La reconnaissance du système limbique démontre que l’hypothalamus et l’hypophyse constitue en quelque sorte le noyau de nos humeurs. Nous avions deux cerveaux : un logique et un émotionnel. Maintenant nous en avons trois avec le cerveau cognitif, dans lequel sont situés, les neurones miroirs.

    Aujourd’hui, les scientifiques pensent qu’il est impossible de séparer un problème psychologique ou psychopathologique de la culture où il prend racine. Par exemple, le complexe d’Œdipe n’a aucun sens en Afrique, ou dans des sociétés matriarcales, car c’est souvent l’oncle qui joue le rôle de père. Et où tout le groupe social intervient pour régler les conflits. Ce qui n’empêche pas un petit africain d’apprendre en imitant les adultes qui l’entourent. Mais plongé dans sa culture, il peut, s’il n’a jamais vu un blanc, ne pas le reconnaitre comme son semblable et en avoir peur.

    21065275-1.jpgL’hypothèse mimétique peut s’étendre à l’humanité. L’empathie serait naturelle. Cependant, il peut y avoir des cas où l’empathie peut faire défaut, exemples. : Si l’enfant n’a pas reçu d’éducation, ou s’il n’a pas été suffisamment regardé lui-même, et laissé seul, livré à lui-même,  il pourra ne pas éprouver d’empathie. Les neurones miroirs ne se  développeront pas, ou ils ne fonctionneront pas. Et là nous avons à faire à ce que nous appelons en psychologie un « pervers ». On peut aussi prendre comme exemple  un soldat nazi. Au début il peut être révolté parce le traitement infligé aux prisonniers. Puis devant l’impossibilité à changer les choses, il renonce. Ses neurones s’imprègnent alors des neurones miroirs des SS, il perd peu à peu sa sensibilité et sa pitié. Les neurones miroirs du régime nazi l’emportent, la cruauté envers les prisonniers devient finalement une habitude justifiée. Plutôt qu’une absence ou carence des neurones miroirs, cela nous indique qu’il y a simplement la force du mimétisme du groupe, le phénomène de groupe. Dans un groupe et encore plus dans une foule, on perd son moi personnel pour adopter le moi du groupe.

    Cette théorie apporte un nouvel éclairage, sur les derniers évènements auxquels nous venons d’assister. Le phénomène du soldat allemand, citer plus haut, peut s’appliquer aux nouveaux terroristes qui sévissent en occident. Cela nous permet de mieux comprendre l’endoctrinement, l’emprise et les manipulateurs. Avec les machines à résonance magnétique, nous pouvons faire la différence entre quelqu’un qui imite, qui fait semblant, dans le cadre d’un apprentissage de quelqu’un qui manipule intentionnellement.

    je vous rappelle la date de la conférence à la librairie Pégase

    samedi 21 mars à 16h

    "Le rôle de nos émotions dans les malaises, mal-être et maladies"

    Et le prochain stage dur les rêves

    les 11 et 12 avril

    Inscription 06.67.56.94.99

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  • Bonne et heureuse année 2015

    32758619 happy new year 2015 feux hexagone disco 1Bonne et heureuse année 2015

    Je vous souhaite mes meilleurs vœux, de bonheur, de santé et de prospérité pour cette nouvelle année.

    Puisque nous sommes créateur de notre vie. Osons ! On ne sait jamais c’est peut-être le projet qui nous semblera le plus fou, qui se réalisera. Ne cherchons pas à savoir comment cela est possible, disons-nous simplement ce que nous aimons. Ce qui nous fait vibrer. Osons y réfléchir.

    Osons prendre soin de nous. Osons écrire tous ce qui pourra combler nos besoins, nos désirs, nos rêves. Soyons bienveillant et généreux avec nous-mêmes. Osons consacrer du temps dans des activités, des loisirs qui nous procurent beaucoup de plaisir. Etabissons votre programme. Prenons le risque de le voir se réaliser.

    Comme l’année universelle 2015, calculée avec le tarot, nous donne l’arcane de la Justice, prenons de bonnes résolutions. Soyons juste avec vous-mêmes, posons nos limites, n’acceptons plus ce qui  nous pèse, ce qui nous empêche de savourer la vie ou d’avancer. Réfléchissons sur vos responsabilités et laissons aux autres les leurs. Lâchons vos vielles culpabilités pour ce qui n'est pas en notre pouvoir. Disons-nous "A l'impossible nul n'est tenu!"

    Bras ouverts

    Ouvrons les bras à la vie, accueillons cette nouvelle année dans la joie.

    Que 2015 soit douce et prospère et que nous puissions réaliser tous vos rêves. N’oublions pas de les écrire et d’être très précis et détaillés en les décrivant. Nous pouvons même les dessiner ou découper des photos et mélanger le tout sur une grande feuille de papier. Soyons inventif.

    Bonne créativité.

    Chantal

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  • Le pouvoir de nos pensées

    Eau goutteLe pouvoir de nos pensées

    La pensée est une énergie qui a un pouvoir d’attraction

    Comme une pierre que l’on jette dans l’eau y produit des mouvements vibratoires qui reviennent vers la même pierre, ainsi en est-il pour les pensées lancée dans l’espace. Ces pensées produisent des ondes qui se répandent dans le grand océan de pensée qui nous entourent et nous reviennent amplifiées.

    Nombres de pensées saugrenues qui nous viennent parfois à l’esprit ne sont que des vibrations émanées d’autres cerveaux. Toutefois ces pensées ne peuvent nous affecter que si notre esprit est accordé à la même fréquence vibratoire pour les admettre. Si nos pensées sont nobles, élevées, notre esprit se mettra à la fréquence correspondante et attirera des pensées de même nature.

    Par contre, si nos pensées sont à l’inverse, c'est-à-dire de basse fréquence vibratoire (pensées de haine, vengeance, ressentiment, peur, doute…), elles attireront des pensées inférieures émises par les milliards de cerveaux accordés à cette fréquence.

    Bras ouvertsL’homme qui croit en lui et se maintient dans une attitude mentale de confiance et de décision ne s’expose pas à être affecté par des pensées adverses et négatives de découragement et d’échec produites par les esprits ancrés à ce niveau. Ais si les pensées négatives atteignent une personne dont l’esprit est abattu, dépressif, sont état négatif s’aggravera.

    Nous attirons donc à nous des pensées d’autrui de la même qualité que les nôtres. L’optimiste qui croit au succès se met en harmonie avec ceux qui pensent comme lui. Ils s’aident mutuellement.

    Le pessimiste qui a peur et maintient en lui l’idée d’échec s’unit intimement aux ondes pensées de tous les souffrants et ensemble, ils s’enfoncent plus profondément. Quand notre esprit opère dans les lignes que je nomme positives, vous vous sentez forts, joyeux, radieux, heureux, confiants et vaillants. Vous êtes aptes à accomplir au mieux ce que vous avez à faire, à mener vos projets à bonne fin, à progresser sur la voie du succès. En même temps, vous émettez de puissantes pensées positives qui atteignent votre entourage et incitent vos relations à vous seconder dans la ligne de leur tonalité mentales, qui est la vôtre.

    Il faut se rappeler que nos pensées commencent immédiatement à se transformer en leur équivalent physique, qu’elles soient volontaires ou non.

    arbre-de-vie.jpgCe sont de petites graines que l’on sème et même lorsqu’elles commencent à pousser, on peut encore retirer les mauvaises herbes de notre jardin.

    Je vous rappelle la date du prochain  séminaire

    " Libération de la mémoire émotionnelle"

    les 23.24.25 janvier 2015 

    Inscription au 06.67.56.94.99

    Je vous souhaite un bel automne

    Chantal

     

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  • Les pouvoirs du cerveau

                    160-f-30798135-07zwksl1ihflemyobcnjt7k3wi9zkbib-1-1.jpgQuelques chercheurs en neurobiologie ont démontré l'exceptionnelle plasticité de notre cerveau. Dans son livre " les étonnants pouvoirs de transformation du cerveau" Norman Doidge aux Editions Belfond, il nous présente le Pr Merzenich qui a soutenu une thèse dans le domaines des applications thérapeutiques. Il affirme que des exercices cérébraux peuvent être aussi utiles que les médicaments pour traiter les névroses. Que la plasticité du cerveau existe depuis le berceau jusqu'à la tombe. Et qu'une amélioration radicales des fonctions cognitives, c'est à dire de la perception, de l'apprentissage, de la réflexion et de la mémoire est tout à fait possible, y compris chez les personnes âgées.

                     Doidge nous raconte l'histoire extraordinaire d'une femme qui n'a qu'une moitié de cerveau. Elle est née sans hémisphère gauche. Oui! C'est possible. A sa naissance les médecins ne l'ont pas vu. Et pour cause, cela ne peut se voir qu'avec une scanographie.

                Michelle est loin de vivre comme une handicapée, elle parle normalement, quand on ne la brusque pas trop. Certes, elle porte d'épaisses lunettes et elle travaille à mi-temps. Cependant, elle représente le meilleur exemple de l’extraordinaire capacité plastique du cerveau. Dans son cas, les fonctions telles que le langage ou le calcul ont migrées dans son hémisphère droit. Il doit prendre en charge les fonctions clés du gauche, mais aussi économiser de l’espace et de l’énergie pour ses propres activités. Un cerveau normal émet des signaux électriques, dans ses deux hémisphères, afin d’informer  l’autre côté des activités qu’il effectue pour que son partenaire puisse se coordonner. Pour Michelle l’hémisphère droit doit se débrouiller tout seul.

                    Merzenich affirme que lorsque l’apprentissage s’effectue dans des conditions compatibles avec les lois qui gouverne la plasticité du cerveau, « la machinerie » mentale peut être optimisée de telle sorte que nous apprenions et que nous percevions plus vite et plus précisément en retenant mieux les informations.

                    Heureux comme un enfantToutes ses recherches confirment l'idée que nous avons le pouvoir de changer nos comportements, en tous cas ceux dont nous avons pris conscience qu'ils ne nous étaient plus bénéfiques. En quelques sortes nous pouvons reprogrammer certaines de nos attitudes et de nos mécanismes de survie. Comme nous l'expliquait déjà C.G. Jung avec son procéssus d'individuation. 

                     D'autres scientifiques ont effectués des expérimentations sur la capacité de nos émotions à changer notre ADN. Ils ont placé un volontaire dans une pièce, pris un peu de sa salive et placé celle-ci dans une autre pièce. Le volontaire regardait des vidéos dont les images provoquaient des émotions différentes. Tandis qu'un opérateur étudiait son ADN en même temps. A leur grande surprise l'ADN située dans la pièce à côté réagissait et se transformait au fil des émotions épouvées par le volontaire. Ils ont recommencé l'expérience en mettant 600km de distance entre l'un et l'autre. Et les transformations étaient identiques. Cela nous montre combien nos émotions ont un pouvoir sur nous, à notre insu. Et aussi que des images peuvent influencer nos émotions.

    Ff 0192 1 1Donc en imaginant quelque chose d'agréable, de beau, pour nous, nous avons le pouvoir d'agir sur notre état d'esprit. Cela peut influencer notre état d'esprit. Sur le fait d'être positif et optimiste ou bien d'être négatif et pessimiste. Nous avons donc le pouvoir de changer nos émotions en projettant de belles images dans notre esprit, comme le font tout naturellement les enfants et les adolescents. Nos pensées peuvent provoquer des émotions, parce que lorsque je vous dis " la mer" ne voyez-vous pas une image de celle-ci, dans votre esprit et cela ne vous procure-t-il pas une sensation agréable, si vous aimez la mer bien sûr. Donc la visualisation influence notre esprit.

    Bonnes vacances, bonnes lectures et bonnes réflexions.

    Chantal

     Il reste quelques places:

    Les 23 et 24 aout à la Teste du Buch

    Stage "Comprendre la symbolique de nos rêves"

    Le 5 septembre une conférence au centre Quintessence à Gradignan

    "Reconnaitre l'émergence d'un transfert dans une relation"

    Suivi d'un séminaire sur ce sujet en six ateliers au centre Quintessence

    Premier atelier les 27 et 28 septembre

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