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  • Le souffle de vie

    Bonjour chers amis,

    Nous voici au printemps, Chaque jour nous pouvons voir le renouveau de la nature, qui  exprime sa créativité.

    Certains  arbres élèvent leur feuillage vert tendre vers le ciel, cherchant la lumière. Quand d’autres embaument l’air de leur fragrance. Peu importe le temps qu’il fera demain. Ils ne cherchent qu’une chose « s’épanouir » en vivant l’instant présent.  

    Nous sentons tous cette énergie de vie qui nous traverse, qui nous insuffle des idées nouvelles  et nous pousse en avant. Nous pouvons inspirer cette beauté offerte par la nature et sentir la joie qu’elle nous procure. La joie est une énergie  pleine d’amour. Elle nous transporte, nous fait du bien, nous encourage à vivre et à savourer de délicieux moments.

    Nous aussi nous cherchons à nous épanouir, à libérer nos talents cachés, à exprimer notre créativité. Les temps changent, c’est le moment de réaliser nos rêves, de faire ce que l’on aime. Parce que c’est ce que nous faisons le mieux. C’est aussi ce que d’autres ont besoin. Le partage des connaissances, des idées, nous fait avancer vers le changement et le renouveau.

     Embaumons nous aussi l’air avec nos pensées de joie et d’amour. Peu importe les rabats joie, la vie va toujours dans le même sens, de l’avant, nous aussi.

    Je vous souhaite un joyeux et prospère printemps.

     

    Il reste encore une ou deux places pour le stage:

    « Apprendre à libérer sa mémoire émotionnelle » du 28.29.30 avril.

    Pensez à vous inscrire aussi pour celui du 27 au 28 mai  

    « Impact des croyances et des projections sur nos relations »

    Les deux plus importantes découvertes du vingtième siècle en matière de connaissance sur le comportement humain ont probablement été celles de l’importance de l’attachement par John Bowlby en  1950 et celles de l’empathie par Carl R. Rogers en 1940. Ces découvertes ont ensuite été mises en lumière par celles de Giacomo Rizzolatti au sujet des « neurones miroirs » en 1996. Ces capacités innées chez l’enfant jouent un rôle essentiel dans la création des liens sociaux. Comprendre comment  ces liens positifs ou négatifs  se sont crées dans notre enfance.  Découvrir comment ils se sont immiscés dans nos relations d’aujourd’hui et comment s'en libérer.  

    Belles fêtes de Paques et lumineuses pensées.

    Chantal

  • Meileurs vœux

    Bonjour chers amis

     

    Je souhaite qu’en 2017 le ciel soit  clément pour vous et toute votre famille.

    Que les transformations nécessaires à votre évolution s’effectuent en douceur, dans le partage, la solidarité et la bienveillance et l’amour.

    Après une année de réflexion, de quête de vérité,  voici 2017 avec son énergie de changement, de prise de conscience, de prise de décision et de passage à l’action.  Le maître mot c'est ACTION !

    Alors osons ! On ne sait jamais c’est peut-être le projet qui nous semblera le plus fou, qui se réalisera. Ne cherchons pas à savoir comment cela est possible, disons simplement ce que nous aimons. Ce qui nous fait vibrer. Puis Osons passer à l’action. Cette année nous invite à agir.

    Osons écrire tous ce qui pourra combler nos besoins, nos désirs, nos rêves. Soyons bienveillant et généreux avec nous-mêmes. Osons poser des actions qui vont concrétiser nos projets. Osons prendre le risque de les voir se réaliser.

    Osons changez de vie, osons prendre notre vie en main, osons saisir les opportunités qui se présenteront à nous.

    Ne nous laissons pas abattre par les mauvaises nouvelles véhiculées par les médias, parce que se sera un mal pour un bien. C’est ainsi que se font les changements de société.

    2017 est une année qui risque de nous bouleverser. Accueillons le changement. Surfons sur la vague du renouveau ! Osons entreprendre.

     

    Consultations sur rendez-vous à Audenge, Lormont et par Skype.

    Au 06.67.56.94.99

     

    Information des activités en janvier :

    Conférence Centre Quintessence à Gradignan

    Impact émotionnel sur notre dos

    Vendredi 13 janvier 2017

    Salle Lotus

    Conférence/atelier animée par Chantal Feugnet

     

    160 f 15778236 5eitk7cxxfrt0ias1lxfepnvce8k3d0y 1Cette Conférence /atelier fait suite au système digestif

    Notre dos, nous interpelle avec ses malaises et maladies. De quoi nous parle-t-il ? Douleurs des cervicales, des dorsales, des lombaires, ces symptômes sont des alertes envoyés par notre corps afin d’attirer notre attention sur une problématique qui perturbe notre équilibre psychique. La gravité de ces symptômes nous indique qu’il est temps de comprendre ce qui se cache sous ces problématiques.

    Pouvons-nous comprendre ce qui les a déclenchés, peut-être avons-nous fait un faux mouvement, porter des poids, ect ? Se sont des causes physiques. Pourtant ces causes physiques nous donnent des précisions sur le déclencheur  et nous permettent explorer le mal-être  intérieur qui s’y rattache. De quoi  pourrait-il être question ? Vous  trouverez lors de cette conférence/atelier des clefs pour mieux comprendre le fonctionnement de votre corps et les liens qui l’unissent aux émotions non exprimées.

    Places limitées à 20 personnes, pensez à réserver au 06.67.56.94.99

    Entrée 8€

     

    Chaleureuses pensées

    Chantal

     

  • Préparons 2017

    Bonjour chers amis,

    422770 1Nous voici arrivés au terme de cette année 2016. C’est la période des lumières parce que nous vivons les jours les plus courts de l’année.  La nature est en hibernation. Elle se prépare à recevoir la nouvelle énergie, celle du renouveau.

    C’est idéal pour faire un petit bilan sur cette année écoulée, sur nos réussites et sur ce qui a moins bien fonctionné. Parce que ces derniers nous donnent l’exemple de ce nous ne devons pas reproduire, il s’agit d’une leçon. Comprendre pour quelle raison nos essaies n’ont pas réussis, nous permet de prendre conscience qu’il fallait peut-être simplement regarder la situation sous un autre angle ou de ne pas reproduire les mêmes erreurs.

    Ainsi nous pouvons élaborer un plan pour réaliser nos rêves, en faire de véritables projets. Cependant, n'oublions pas de lâcher certaines, attentes irréalistes, peurs, croyances inadéquates, ou sentiments de culpabilité non justifiés. Allégé de ces lourds concepts, notre esprit s’envole sur les ailes de nos désirs et commencent tout doucement à se construire. Laissons-nous porter par la joie, l’enthousiasme que nous procurent ces nouvelles pensées. Il s’agit là du terreau de notre nouvelle vie, de l’énergie de 2017.

    guidance.jpgCette nouvelle année sera sous le signe du changement. Cette énergie va nous demander de prendre notre vie en main, nos responsabilités tout en laissant aux autres les leurs, de saisir des opportunités, d’innover, d’envisager de nouvelles expériences, de nouvelles idées, d’aller de l’avant. Nos résistances risquent de nous exposer à des situations périlleuses. Commençons par écrire tout ce que nous aimerions voir se réaliser en 2017. Si vous aviez fait de même fin 2015, il est temps de reprendre votre liste et de regarder tout ce que vous avez déjà obtenu. Le reste demande peut-être un peu plus de temps pour se condrétiser. 

    Je vous souhaite de passer d’excellentes fêtes de Noël dans l’amour et le partage. Que la joie emplisse nos cœurs.

    J’en profite pour vous rappeler les dates de la prochaine conférence

    Le vendredi 13 janvier 2017 «  Impact émotionnel sur notre dos » à 20h30

    Au centre Quintessence à Gradignan.

    Les 26.27.28.29 janvier 2017 « A la rencontre de soi » à Audenge ».

    Ce stage clôture une série de stages sur le développement personnel. Il vous permettra  de mieux communiquer avec vous-mêmes, d’être à l’écoute de vos besoins, de vos désirs, et de retrouver votre potentiel intuitif et créatif. Pour ne plus avoir peur de vous engager dans la vie et d’aller au bout de vos rêves. Avec des cours théoriques, des exercices pratiques des marches méditatives et une découverte du pouvoir positif qu'apporte la beauté d'un lieu.

    Inscription au 06.67.56.94.99 ou par mail:

    chantal_feugnet@yahoo.fr

    Avec mes plus lumineuses pensées.

    Chantal

  • Expérimenter nos émotions pour apprendre à reconnaitre nos besoins

    Nous avons vu dans le dernier blog qu’il y avait un lien entre notre corps, nos émotions et nos pensées. Et que nos émotions désagréables nous servaient à reconnaitre si un besoin était comblé ou pas. Pour cela nous allons commencer par faire le tri entre les vraies émotions et les fausses.

    On peut parler d’émotions vraies ou fausses[1].  Mais pour les reconnaitre il est essentiel de les distinguer les unes des autres. Et cela nous demande d’expérimenter leur pouvoir dans une situation donnée. En ce qui concerne les émotions agréables, comme la joie nous ne rencontrons pas beaucoup de difficulté. La plupart du temps, nous laissons le processus émotionnel se dérouler jusqu’au bout, sans même en être tout à fait conscient. Lorsque nous prenons un peu de recul en contemplant un magnifique paysage, nous en constatons alors ses effets. Nous nous sentons plein d’une énergie insoupçonnée, comme ressourcés. Nous repartons plein d’une force physique qui nous pousse à nous dépasser. La joie éprouvée nous a procurée cette formidable énergie.

    Il en va de même avec les émotions désagréables. Prenons un exemple : Je viens d’essuyer un refus, pour un projet dans lequel j’avais besoin d’une aide financière. Je peux me sentir tout à coup très mal en sortant de l’établissement concerné. Je suis abattue et défaitiste. Je ressens comme un poids qui m’écrase. Je n’ai plus envie de rien, je me traîne jusqu’à ma voiture.

    De fil en aiguille des souvenirs malheureux  commencent à m’envahir l’esprit et peu à peu je sombre dans une déprime. Pour en sortir rapidement, je mets mes émotions de côté et je me dis que ce n’est pas grave si je ne réalise pas ce projet, que ma vie est très bien ainsi, je n’ai pas à me plaindre, il y a des gens bien plus en difficultés que moi. Et je reprends le cours de ma vie. Malheureusement pour moi, mon entrain à disparu, mais je fais bonne figure. Jusqu’au  jour où des symptômes apparaissent dans mon corps. Parce que je suis dans le déni d’un besoin. Comme si je n’avais aucune raison valable de me sentir mal. Seulement, quand il s'agit d'un besoin, il n' y a pas de raison qui tienne. Un besoin c'est vital.

    A ce stade de mon évolution, disons que mon organisme, mon système neurovégétatif n’a pas trouvé d’autres solutions, pour attirer mon attention sur la disharmonie qui règne à l’intérieur de mon être, que de développer des symptômes. C'est-à-dire qu’entre mon esprit, mon corps et mon âme, il y a maintenant un de ces composants qui n’est plus sur la même longueur d’ondes que les autres. Je peux avoir la tête qui tourne sans comprendre pourquoi, je peux avoir des nausées, alors que j’ai mangé comme les autres qui n’ont aucun malaise. Ce déséquilibre, si je n’y prends pas garde, peut me conduire, au fil du temps, à déclencher une maladie.

    Avec cet exemple cité plus haut, nous nous rendons compte que pour ne pas ressentir le mal-être procuré par le refus que je viens d’essuyer, j’ai étouffé les émotions qui y étaient liées. Je ne me suis pas donné le temps nécessaire pour les identifier. Je me suis aussitôt convaincu que je pouvais, comme d’habitude, reléguer ces ressentis désagréables aux oubliettes. Mon mental, ma raison, mes pensées ont détournés mon attention du besoin qui avait motivé ma demande. Cette attitude s’appelle une résistance qui agit contre le ressenti émotionnel. Cette résistance me permet de laisser, les croyances inconscientes, défaitistes et négatives, qui m’habitent depuis mon enfance,  reprendre le dessus. C’est de cette façon que je réagis, sans m'en rendre compte,  dans des circonstances similaires.

     Pour apprendre à identifier nos émotions nous allons devoir commencer une démarche visant à reconnaitre nos modes de fonctionnements, face à une situation comme face à une personne en particulier. C’est un peu comme se regarder dans un miroir. Et nous allons devoir laisser cette émotion nous envahir, sans pour autant nous laisser submerger. C'est-à-dire que tout en laissant monter cette émotion, nous allons l’étudier en nous posant quelques questions. Quels mots je mettrai sur ce que je ressens ? Toujours avec l’exemple pris plus haut : je me suis sentie dévalorisée par les propos du banquier. Il ne me fait pas confiance, peut-être qu’il ne me croit pas capable d’aller jusqu’au bout ? De mener à bien cette entreprise ? Ect. En allant au bout de ce cheminement, je me rends compte que toutes ces pensées sont les miennes depuis toujours. C’est moi qui n’ai pas confiance en moi. Au fond, je ne crois pas que je puisse aller au bout de ce projet.  

    A ce stade, j’ai dévié de mon objectif, qui lui répondait à mon besoin de créer une activité dans laquelle j'allais exprimer ma sensibilité, un talent. En comblant ce besoin « exercer cette activité, qui me comble de joie » je rassemble toutes les parts de mon être. Je me sens unifiée parce que j’ai satisfait mon besoin. Ces informations sont importantes pour nous, parce qu’elles nous renseignent sur l’état de nos besoins. Sont-ils satisfaits ou pas ? Cette question est primordiale pour mon développement, parce qu’un besoin c’est quelque chose de vital pour mon bien-être. Pour l’équilibre harmonieux de toutes les parts de moi-même. D’où va découler une bonne santé.

    Qu’est-ce qui m’a fait dévier de mon besoin ? Une croyance ! Celle de croire que je n’étais pas capable. Voyez-vous, comment en acceptant de regarder mon émotion de tristesse j’ai été conduite à découvrir la cause de mon abattement. ME CROIRE INCAPABLE !

    Cette découverte est ce que j’appelle une piste. Ensuite, mon cheminement sera de continuer mon investigation plus profondément, pour trouver : comment ? Et qui m’a conduite dans cette croyance ? Parce que c’est elle que je vais déprogrammer. Je me suis rendu compte que je me croyais incapable. La question : est-ce qu’un jour quelqu’un m’a dit ou fait sentir que j’étais une incapable ? Aussitôt un flash traverse mon esprit : oui ma mère ! Je revois la scène, le lieu, l’enfant que j’étais. Je ressens les mêmes émotions et sentiments : je suis abattue, triste, découragée. J’avais le projet de faire de la poterie et elle s’est moquée de moi, me disant : tu te prends pour qui ? Pour Picasso ! A cette époque je croyais ma mère. Si elle le dit, c’est que c’est vrai !

    Et bien voilà ce que j’ai à transformer, la croyance que je suis pas Picasso, que je ne possède aucun talent. Avec l’aide de mon thérapeute, je vais pouvoir retourner dans ce souvenir et ajouter des images où, l’adulte que je suis devenue va défendre l’enfant et rendre à ma mère sa croyance. Comme la nature a horreur du vide, si j’enlève quelque chose, il est essentiel que je mette quelque chose d’autre à la place. Une autre croyance plus positive. Pourquoi serais-je incapable de concrétiser un projet ? Je ne suis peut-être pas Picasso, mais comme lui j'ai le désir de créer de beaux objets. Avant de devenir l'artiste reconnu qu'il était, il avait appris en s'exerçant jusqu'à ce qu'il produise soit ressemblant à ce qu'il avait en tête. En persévérant.

    Bien souvent j’avais entendu ma mère dire qu’elle ne pouvait pas faire ceci ou cela parce qu’elle n’avait pas d’argent. Et elle ajoutait "on ne prête qu’aux riches". Il y avait là une autre croyance qui vienait s’ajouter à la première et qui bloquait ma créativité. Comme je ne possèdait pas l’argent nécessaire pour créer mon activité, je cherchais à emprunter. Oui mais si on ne prête qu’aux riche, je tournais en rond! Avec des croyances comme celles là je ne peuvais rien faire.

    Bras ouverts 1Il s’agit maintenant de créer une nouvelle croyance. Comment puis-je changer quelque chose auquel je crois ? En regardant du côté de la logique. En inversant ma croyance. Si la croyance inculqué par ma mère était vraie. Personne ne pourrait créer quoi que se soit. Il existe différentes façons pour créer une activité, des associations, des experts, des personnes plus expérimentées qui ont envies d’aider les autres. Il existe des opportunités dont je n’ai même pas idées. Quand j’écoute les récits de ceux qui ont réalisés leurs rêves, ils sont partis de rien et ils ont persévérés, ils ont gardés la foi en leur projet. Ils ont essayés et recommencés, jusqu’à y arriver. Si j'ai l'envie, un rêve en moi, alors c'est que j'en ai le potentiel. Et un potentiel ça se développe. Donc c’est possible de réaliser ce qui me tient à cœur. Donc je peux croire en mon projet. Je ne sais pas encore comment je vais m'y prendre, mais je m’imagine en train de faire ce que j'aime faire. Dans l'exemple c'était de la poterie. Je retrouve la joie de vivre et un bien-être intérieur s'installe en moi. Je dis OUI à la vie.  

    Prochain stages:

    28.29.30 octobre "Apprendre à libérer sa mémoire émotionnelle"

    Pour tous ceux qui souhaitent prendre un nouveau départ dans la vie! 06.67.56.94.99

    Lumineuses pensées

    Chantal

     

    [1] Michelle Larivey, La puissance des émotions, Edition de l’homme, Québec 2002.

  • L'autre est un miroir de soi

    L’autre est un miroir de soi

    MiroirL’Autre est un miroir de soi. D’une façon ou d’une autre, nous avons attirés à nous toutes les personnes qui nous entourent. Nous sommes nés des poussières d’étoiles disent les scientifiques. Les particules, présentent dans l’air que nous respirons, contiennent des particules issues des derniers souffles de César ou d’Akhénaton. Nous sommes tous reliés les uns aux autres. Notre inconscient est relié à l’inconscient collectif, familial, social et mondial, au monde minéral, végétal et animal. Observez la nature, quand vous observez un animal sauvage, qui ne vous a pas vu, aussitôt il le sens, même si le vent est contraire à vous. Il vous cherchera du regard. Nous sommes tous connectés entre nous, comme la particule et le scientifique.

    Les scientifiques ont aussi découvert qu’à chaque émotion  nous transformons notre ADN. Pour résumer, des chercheurs de l’armée prirent de l’ADN humain provenant de l’intérieur de la bouche d’un donneur, un volontaire. Ils le placèrent dans une éprouvette et dans un endroit approprié pour pouvoir mesurer l’interaction entre l’ADN et le donneur. Ils placèrent l’éprouvette  dans une pièce de l’immeuble, et le volontaire dans une autre pièce de cet immeuble. Ensuite, le volontaire fut soumis à des stimulations émotionnelles qui créèrent des émotions multiples: de joie, de tristesse,  de peur, de  colère, de  rage… Dans le laboratoire de l’immeuble, ils mesuraient en même temps, l’ADN de l’éprouvette et celui du volontaire dans l’autre pièce de l’immeuble. Dans la physique occidentale, rien ne suggère que l’ADN une fois sortit du corps soit toujours connecté au volontaire.

    991837 le cerveau est excit travers les cordes le concept d intelligence 1Pourtant, le résultat des expériences prouva exactement le contraire. Ils constatèrent que lorsque le volontaire avait ses hauts et ses bas émotionnels dans une pièce, l’ADN reflétait lui aussi ses hauts et ses bas émotionnels dans une autre pièce exactement au même instant. Dans ce genre d’expérience, on pense que l’énergie est transmise d’un point A à un point B. Et si l’énergie vient d’un endroit pour aller à un autre, on présume qu’il s’écoule un laps de temps entre le moment où l’émotion est créée et celui où l’ADN répond. Eh bien, pas du tout! Les résultats montrent que les effets sont simultanés, instantanés.

    Les scientifiques parlent aussi des découvertes faites avec la théorie de la mécanique quantique. Ils disent que leurs observations des phénomènes, les ont amenés à constater qu’une particule change de genre quand on l’observe. C’est à dire qu’ils savent qu’ils sont en présence d’une particule, mais ne savent pas à quel endroit elle se trouve. Or, quand ils branchent l’appareil de mesure, ils s’aperçoivent qu’il n’y a plus une particule mais deux. Ils peuvent dire où  est la particule, mais à l’opposé se trouve une onde. Ils ne peuvent dire, ni quand, ni comment l’onde a pu connaître l’information sur la destination de la particule. Par contre à chaque expérimentation l’onde était à l’opposé de la particule. Ils ont faits des mesures avec la lumière, mais l’information entre la particule et l’onde a été plus vite que la lumière. Ils en ont déduit que l’onde et la particule sont interconnectés. Ils se sont aussi aperçus que les résultats pouvaient être différents selon la personne qui effectuait l’expérimentation. C’est pour cette raison qu’ils en ont déduit que nous sommes aussi interconnectés avec la matière. Et que l’humain influence l’expérimentation.

    La pensée est une énergie disait l'asrtophisien Jean Charon, à son époque[1]. Il a découvert la plus petite particule, qu’il a appelé « éon ».  Cet éon a un pouvoir d’attraction extraordinaire, il mémorise  tous les champs qu’il traverse et sa vitesse est supérieure à celle de la lumière. Jean Charon explique que nous sommes formés de milliard de cet électron et que notre pensée est véhiculée par cet éon.  Nos pensées lancées dans l’espace  produisent des ondes qui se répandent dans l’univers qui nous entourent. J’ajouterai que l’intention est de même nature que la pensée, elle est perceptible par le moindre petit animal, alors d’autant plus par ceux qui nous entourent.

      http://ecosynth.files.wordpress.com/2011/02/earthmath_field_midsized.jpg?w=300&h=252Dans les années 1990 l’institut Heartmath (MathCoeur), un pionnier dans la recherche, basé dans le nord de la Californie explore les fonctions du cœur  humain autres que juste celles se limitant à pomper le sang. Même si c’est précisément ce qu’il fait, c’est peut-être la moindre de ses fonctions. Cet institut a découvert que notre cœur possède le plus grand champ électromagnétique de notre corps. Et le champ électromagnétique créé par notre cœur  produit des effets bien au-delà de notre corps. L’institut Heartmath avait découvert auparavant qu’il existait autour de chaque cœur humain un champ d’énergie de la forme d’un tube, ou plutôt un tore, d’une taille de 1 à 3 mètres autour du cœur et du corps humain.

    Toutes ces découvertes récentes confirment les nouvelles approches que nous développons depuis une vingtaine d'années. Elles expliquent comment nous sommes reliés les uns aux autres et comment nous fonctionnons entre nous. Les neurones miroirs jouent un grand rôle dans ces transmissions de cerveaux à cerveaux. Elles nous permettent de communiquer entre nous, avant même d’avoir prononcé un mot. Elles conditionnent toutes nos relations. Les émotions ont  un impact sur notre ADN. Nous savons aussi qu'elles peuvent perturber ou améliorer notre santé. C’est pour cette raison que j’ai décidé de mettre en place une série de stages sur ces sujets et sur la méthode que j'utilise depuis toutes ces années. Je sens que le temps est venu pour transmettre tout ce qui peut aider chaque personne à mieux se comprendre. Afin de  prévenir les maladies et de rester en bonne santé le plus longtemps possible.

     "Apprendre à libérer sa mémoire émotionnelle"

    " Comprendre le rôle des neurones miroirs dans nos relatoions"

     " Décoder la symbolique du corps" première partie

    "Comprendre l'importance du questionnement" deuxième partie

    " Décoder la symbolique de nos rêves"

    « Comprendre le rôle des neurones miroirs dans nos relations » aura lieu les 4 et 5 juin à Audenge.

    Ces stages se feront avec de petits groupes, les places sont limitées, pensez à réserver au: 06.67.56.94.99

    Avec mes plus lumineues pensées

    Chantal

     

    [1] Son livre « J’ai vécu quinze milliard d’années »

  • Le pouvoir de l'intention

    émotions

    « Quand l’intention modifie la réalité ».

    Titre d’un article parut sur www.energie-santé.net du mois de mars.

    Depuis un siècle les scientifiques ont découverts que nous pouvions, grâce à notre attention modifier  la réalité. Les expériences menées sur le photon l’ont démontré. Une particule de lumière, le photon pouvait être à la fois une particule et une onde magnétique selon les différents observateurs qui exécutaient la manœuvre.  Qui consistait à faire passer la particule dans deux fentes.  Le résultat changeait chaque fois que l’observateur était différent. Ces découvertes auraient dû changer nos croyances au sujet de notre pouvoir sur les évènements. Jacqueline Bousquet chercheuse à l’I.N.R.A de Bordeaux a donné plusieurs conférences sur ce sujet. Ce qui lui a valu une mise à la retraite anticipée. Elle en avait parlé lors de sa dernière conférence à Saintes en août 2013.  Elle avait quatre vingt six ans et nous a quitté en janvier 2014.  

    MiroirJe vous ai déjà parlé du pouvoir de l’intention quand nous avons un  sentiment de culpabilité. Ce qui ne voulait pas forcément dire que soyons réellement coupable. Nous sommes réellement coupables lorsque nous faisons du mal à quelqu’un avec l’intention de lui faire du mal. Comme par exemple quand nous cherchons à nous venger. Ou que l’on souhaite que la personne qui nous a fait souffrir, souffre à son tour. Parce que parfois nous pouvons prêter aux autres une intention qu’ils n’avaient pas. Si une personne, ou nous-mêmes, nous adressons avec colère à une autre personne, sans lui dire exactement l’objet de notre colère parce que l’on croit, que c’est évident et que l’autre sait de quoi il s’agit, nous pouvons créer des malentendus. Ce qui peut être évident pour nous ne l’est pas forcément pour quelqu’un d’autre.

    Il peut y avoir plusieurs causes à la souffrance. Nous pouvons souffrir du comportement d’autres personnes à notre égard. Soit une personne est très agressive envers nous sans que nous sachions vraiment pourquoi. Soit une personne est devenue agressive, là encore, sans que nous ayons réellement compris pourquoi. A chaque fois ces comportements ont fait naître ou « ont réveillés » des émotions, des sentiments en nous. Ce sont ces émotions ou ces sentiments qui nous font réellement souffrir. Et tant que nous ne les lâchons pas, en les exprimant d’une façon ou d’une autre, notre souffrance perdure.

    Mer dechainee 2Parfois, il s’agit d’un évènement, d’une situation qui génère notre souffrance. Et là aussi nous pouvons constater que des émotions nous submergent d’un coup. Et notre humeur est perturbée, changée, comme si on avait soudainement basculé dans quelque chose qui nous plonge brutalement dans  l’effroi ou l’abattement.  C’est un peu comme si quelqu’un de « non identifié » s’amusait à contre carrer nos projets. Ou qu’on venait casser, écraser, disloquer, stopper, ce qui nous rendait heureux. Là,  nous sommes entrés dans une situation où nous avons un deuil à faire. Et notre société ne nous aide pas dans ces cas là. Parce que le processus de deuil y est tabou et méconnu.  

    Parfois ce sont les décisions que prennent certaines personnes de notre entourage, comme par exemple un enfant peut s’orienter dans une direction qui ne nous plait pas, parce que l’on sait ou croit savoir qu’elle se trompe. Cependant, c’est en se trompant que l’on apprend. Il est donc nécessaire que l’enfant, même devenu adulte, se trompe. C’est ainsi que nous grandissons. La personne n’a pas pris cette décision avec l’intention de nous faire du mal. Elle a pris sa décision parce qu’il s’agit de quelque chose qui lui tient à cœur. Dans ces conditions, c’est la situation qui nous fait souffrir, pas la personne.  Dans tous ces cas, nous pouvons projeter sur les autres des intentions qui ne leurs appartiennent pas. C’est pour cette raison que nous parlons de miroir. Nous projetons sur autrui ce que nous ne pouvons pas voir de nous-mêmes.

    D’un autre côté lorsque nous avons un rêve qui nous tient à cœur  et que notre intention est de tout faire pour réussir, nous projetons une onde électromagnétique très puissante. Que notre intention soit bonne ou mauvaise l’énergie projetée est tout aussi puissante. Notre rêve c’est le moteur, l’intention c’est l’essence qui alimente le moteur. Donc lorsque l’on dit «  je ne sais pas si ça va marcher, j’essaie on verra bien ! ».  On n’alimente pas le moteur. C’est pour cette raison qu’au début les choses fonctionnent, puis s’essoufflent et finissent par s’arrêter faute de carburant.

    Nos pensées, le dialogue intérieur en cours, ces quelques lignes que vous lisez, ne sont pas des paquets de molécules, ce sont des ondes magnétiques qui circulent à travers notre cerveau, et communiquent d’un hémisphère à l’autre, d’une zone à une autre à une vitesse vertigineuse. Elles sont aussi projetées vers l’extérieur de notre cerveau pour aller communiquer avec d’autres cerveaux, consciemment ou non. Le plus important c’est la qualité du vécu, l’essence de l’expérience. Que l’on soit, adepte des neurosciences, Maître yogi, cyber-disciple, moine zen, adepte du Qi gong, tous se rejoignent sur l’importance cruciale de la compassion et de l’amour de son prochain. Car c’est en passant par le cœur qu’il est possible d’entrainer son cerveau. Et d’influer sur nos émotions. Croire dans la réussite de ce qui nous tient à coeur est essentiel au bon déroulement de nos activités. Croire que nous pouvons changer, nous transformer, devenir meilleur participe à l'évolution planétaire. 

    Je vous informe que le stage sur "Comprendre le rôle des neurones miroirs dans une relation"

    qui devait avoir lieu en mai à été reporté au

    4 et 5 juin 2016 à Audenge

    Place limitées, pensez à vous inscrire: 06.67.56.94.99 ou

    chantal_feugnet@yahoo.fr 

    Au plaisir de vous rencontrer prochainement.

    Chantal  

  • Les maux hivernaux

     

    Les maux Hivernaux, comme son nom l'indique, arrivent souvent en hiver. C’est une saison où l’on voit la nature se reposer, se mettre en hibernation. Pour nous, les humains c’est un peu le contraire, c’est là que nous avons le plus gros de nos activités. Donc, au plus fort de l’hiver, le soleil baisse, les jours raccourcissent et nous sommes fatigués. Donc ces maux nous indiquent qu’il y a une défaillance du système immunitaire.    

    Les plus courant sont les rhumes appelés aussi rhinites. Ils sont dus soit à un virus ou un germe. La fatigue n’ayant pas été prise en compte le corps laisse passer un virus ou crée un germe. Comme c’est surtout le nez qui est enflammé, obstrué et on a l’impression d’avoir la tête prise.  Au niveau de la symbolique cela nous indique qu’il y a une confusion dans notre esprit. Peut-être que je ne sais plus ou donner de la tête, il y a trop de chose à gérer en même temps. Des obligations soit familiales, soit professionnelles, soit les deux en même temps et je ne sais plus ou sont mes priorités.

    Parfois le rhume nous permet de nous arrêter et donc de prendre de la distance avec la situation. Ce recul est nécessaire pour retrouver son discernement. Ce repos nous permet de reprendre contact avec nous-mêmes, avec notre être profond. Ce sont nos doutes sur une décision à prendre : est-ce bien si je fais comme ça? Ou vaut-il mieux faire comme ceci ? Sont les questions qui généralement nous tournent dans la tête. Cela indique qu’il y a une dualité intérieure entre mon intuition (narine gauche) qui me fait sentir quelque chose et mon rationnel (narine droite) qui me dit ce n’est pas raisonnable. J’ai un conflit à régler.

    Autrefois, les religions nous ont appris qu’il ya avait un arbre symbolique de la connaissance du bien et du mal. Et notre inconscient collectif est toujours en lien avec ces croyances. Ce qui fait que nous ne sommes pas clairs avec cette notion. Si j’agis en suivant mon ressenti, ce n’est peut-être pas bien (ce qui induit que je suis coupable) Si j’agis en suivant ma raison, je ne me sens plus coupable, mais je me sens mal qu’en même ! Un vrai dilemme.

    On peut comprendre qu’il y a eu quelques erreurs de traduction de l’Hébreux au Latin et dans nos langues modernes. Aujourd’hui, quelques traducteurs disent plutôt qu’il s’agit de l’arbre de la connaissance de l’ombre et de la lumière. Les racines sont enfouies dans la terre, donc invisibles, ombre (inconscient). Les branches offrent les feuilles à la lumière. Elles sont visibles, donc conscientes. Le bien et le mal induit qu’on est coupable. Tandis que si le mal devient « ombre » il induit qu’on ne savait pas, qu’on n’avait pas conscience. Donc on a pu commettre une erreur. Et l’erreur est humaine. Ce qu’il faut savoir : c’est parce qu’on se trompe qu’on apprend. Donc se tromper fait partie de l’apprentissage. En se trompant on apprend quelque chose, on apprend à ne pas reproduire cette erreur.  Donc je ne suis pas coupable!

    Je suis responsable. Ce qui veut dire que si je me suis trompé je vais devoir réparer. Or le sentiment de culpabilité nous amène à nous auto-punir. A cause de notre éducation, qui jusque là était : tu as fait une bêtise tu seras puni ! Et c’est bien ancré dans notre cerveau limbique. Alors que je suis déjà puni de m’être trompé, parce que cela me fait me sentir mal. C’est déjà une punition, pas besoin d’en rajouter. Aujourd’hui, l’éducation prend un autre sens, même le dressage des animaux est en train de changer. Je veux parler d’une science qui s’appelle l’éthologie. Et qui consiste à ne pas mettre l’accent sur l’erreur, mais sur les bons résultats et de les récompenser. 

    Pour être clair, nous faisons du mal à quelqu’un lorsque nous agissons avec l’intention de lui faire du mal. J’entends souvent des parents dirent que leur enfant font des bêtises pour embêter leur parent. Le parent prête ainsi une intention de faire « du mal » à son enfant. Cela s’appelle une projection. Parce que l’enfant fait souvent des bêtises soit parce qu’il est curieux et veut découvrir son environnement, soit parce qu’il a besoin de l’attention de son parent. Dans les deux cas, il s’agit d’un besoin. Et un besoin c’est vital. Il est nécessaire de le combler. Mais l’enfant n’a jamais eu l’intention de faire du mal à son parent.

    Donc l’ombre c'est l’inconscient, l’ignorance et tout ce qui est caché, le conditionnement de l’enfance. La conscience éclaire l'esprit avec sa capacité à discerner, à comprendre, elle fait la lumière sur quelque chose qui était caché. Quand la conscience éclair une problématique, elle utilise le ressenti et la logique pour trouver une solution. Lorsque l’inconscient est amené  à trouver une solution, soit il déclenche une maladie, soit un accident. Ce qui permet à la conscience de prendre une distance et de trouver une solution.

    Les questions à se poser dans le cas de rhume ou rhinite : Y-a-t-il quelque chose qui m’affecte ? Ai-je envie de pleurer mais je ne veux pas l’admettre ? Ou encore : suis-je en doute par rapport à une situation ? Est-ce que je me sens coupable si j’écoute mon intuition ?

    La sinusite : Y-a-t-il dans mon entourage une personne que je ne peux plus sentir ? 

    La pharyngite : Nous sommes descendus au niveau de la gorge. Il y a des picotements, ça brûle. Là, il s’agit de la communication entre la tête et le cœur. Il y a un conflit entre mes sentiments et ma raison.  Je désire quelque chose ou j’ai besoin d’affection. Mais la raison dit non ! Et cela produit de la colère. Dans toutes les maladies en « ite » il y a de la colère. Les questions : ai-je ravalé ma colère ? Pourquoi n’aurais-je pas le droit d’avoir de l’amour, de la tendresse ? Pourquoi n’ai-je pas le droit de dire ce qui me met en colère ? Est-ce que cela m’amènerai à être traité d’égoïste ?

    Laryngite : Il peut y avoir une peur de dire quelque chose à une autorité ou une personne de très autoritaire. Il y a une frustration de ne pas pouvoir exprimer son ressenti.

    Otite : Suis-je triste de ce que j’entends ? Ou ce de que j’aimerai entendre et que je n'entends pas ? Il peut y avoir un mélange de tristesse et de colère.

    La grippe : La aussi il y a deux types d’infections autogène ou hétérogène. Autogène c’est notre corps qui produit ce virus. Cela se produit quand notre corps est très fatigué et qu’il a besoin de repos. Hétérogène, c'est par contamination. Cependant les questions sont les mêmes.  Questions : Ai-je un grand besoin de repos, que je n’ai pas écouté (obligations familiales ou professionnelles)

    Me serai-je fais violence pour continuer ?

    Qu’est-ce que cette grippe m’apporte ou m’oblige à faire ?

    Grippe hétérogène : elle relève de contaminations. L’infection peut être de différents types, bactéries, virus, parasites, ou champignons.

    Les germes hétérogènes peuvent pénétrer dans notre organisme par coupures, blessures, inoculation (vaccination) ingestion (eau non potable, aliments périmés). Bon à savoir : les virus résistent mal à la chaleur (d’où la fièvre, le corps résiste à sa manière) on peut favoriser la chaleur en prenant un bain chaud, des boissons chaudes, une bonne couverture chaude pour favoriser la transpiration.

    Les germes autogènes que notre corps produit, ils interviennent dans un but réparateur et de nettoyage des tissus infectés. Il n’est pas nécessaire de les détruire contrairement aux autres, mais de les transformer. Au lieu de faire la guerre on opte pour la paix dans son milieu psychique ce qui aura des répercussions favorables sur le milieu physique, le métabolisme.  

    Les bronches : Il s’agit d’un réseau de petites bronches, des bronchioles qui ressemblent aux racines d’un arbre. La symbolique : il s’agit d’une situation en lien avec le réseau familiale ou professionnel. La bronchite est souvent accompagnée de toux. Elle exprime de la colère. On peut se sentir brimé et éprouver de la critique envers notre entourage. On peut avoir l’impression de tout faire pour leurs plaire, sans arriver à les satisfaire.

    Pneumonie ou pneumopathie : découragement par rapport à ce qu’on vit. On ne voit pas d’issue à ce que l’on vit.

    Pleurésie : Il y a de l’eau dans la plèvre. La question : ai-je été angoissé par rapport à ma santé ?

    Pneumothorax : C’est un effondrement de la partie entre les deux poumons.  Il peut s’agir d’un profond découragement qui amène à ne plus vouloir vivre. On ne voit pas de solution. On peut aussi se sentir abandonné : Est-ce que je pense que ce n’est pas une vie ?

    Pour se libérer de ces sentiments et émotions négatifs envers la vie il est nécessaire de les reconnaitre, de les identifier pour comprendre que ce n’est pas la vie qui est responsable de ces difficultés, de ces malheurs, de ces problèmes. La cause vient souvent d’une façon erronée de comprendre une situation ou une relation. Il est parfois nécessaire de changer sa vision en regardant la situation ou la relation sous un autre angle. Afin de pouvoir ouvrir ses bras à la vie et la respirer à plein poumon. C’est ainsi qu’on fait entrer la joie de vivre qui apporte son énergie de guérison.

    Avec mes plus lumineues pensées

    Chantal

  • Bonne et heureuse année 2016

    mystic_tarot__ix_the_hermit_by_kkl[1]

    2016 est sous le signe de la neuvième lame du tarot. Cet arcane appelé « Hermite » nous transmettra tout au long de cette année son énergie propice à la réflexion, à la  méditation, l’écoute de sa petite voix intérieure. Nous serons  ainsi guidés par le sage qui est en chacun de nous.

    Elle nous amènera à l’introspection, aux bilans, aux prises de consciences, à la libération de nos vieux idéaux, à la mise en lumière de ce qui se cache dans les oubliettes de nos inconscients, individuels et collectifs. Afin que l’éclair de discernement opère son œuvre. La vérité nous affranchira disent les évangiles. C’est bien de cela dont il s’agira cette année.

    C’est un peu comme lorsque  nous  vidons nos caves, nos armoires et nos greniers encombrés des objets et des croyances entassées là, depuis plusieurs générations.  Ce grand ménage intérieur et extérieur a pour but de faire place à d’autres objets et d’autres croyances plus conformes aux valeurs qui sont les nôtres aujourd’hui, à nos désirs, à nos rêves personnels. Nous nous donnons enfin le droit d’exprimer nos vrais désirs.

    Notre société est en pleine crise nous ditons-on. C’est justement de cette crise que viendra nos transformations. A l’instar des peuples qui se soulèvent lorsqu’ils sont trop opprimés, nos aspirations, nos rêves enfouis, nos désirs de liberté, d’autonomie feront leurs apparitions, quand nous aurons eu le courage de vider nos oubliettes personnelles.

    Bien souvent, nous sommes devant la porte et rien que la vue de ce fatras indéfinissable nous décourage, ne sachant pas par où commencer. Nous refermons la porte et nous reportons ce travail à plus tard.  Nous pouvons simplement commencer par faire un état des lieux. Que contient cette pièce ? Cette sphère émotionnelle ? Cette mémoire ? Qu’ai-je emmagasiné depuis si longtemps ? Qu’est-ce qui m’appartient en propre ? Et qu’est-ce qui appartient à ma famille ? Est-ce que je suis toujours d’accord avec tout cela ? Un tri s’impose. 

    Il y a des objets que nous redonnerons à ceux qui les avaient déposés et oubliés là. Des croyances liées à des peurs, qui appartiennent à nos parents et auxquelles nous ne voulons plus croire. Des sentiments de culpabilité qui sous l’éclair lumineux de notre discernement nous apparaitrons comme injustifiés, donc obsolètes. Nous pourrons leurs rendre, par des paroles ou  un geste symbolique. Et derrière tout cela nous trouverons des choses plus bonnes à rien, que nous pourrons recycler et d’autres que nous brûlerons.

    Parfois nous nous accrocherons à certaines choses. Des choses qui nous ont manquées. A des peurs imaginaires, parce que le réel danger a depuis longtemps disparu. Des façons de voir ou d’aborder une situation qui sont désuètes, infantiles, ou confuses. Parce que ce détachement c’est un peu comme une petite mort. Après ce grand nettoyage, nous ne serons plus comme avant. En perdant nos vieux schémas, nous perdons nos repères et avant d’en construire de nouveaux, la transition nous parait instable. C’est normal, puisque nous n’allons pas rester ainsi. Il faut laisser mûrir ce renouveau que nous promet 2017 avec l’arcane de la Roue de Fortune. 

    Que cette année vous apporte l'occasion de faire ce tri intérieur, de vous poser, de prendre votre temps pour réfléchir et écouter votre guide. Qu'elle vous donne ainsi la force et le courage de remettre, certains rêves oubliés et chers à votre coeur, sur la table de vos projets.

       

    Information des activités en janvier :

     

    Bras ouverts 1Un séminaire « Libération de la mémoire émotionnelle » les 22.23.24 avril  2016 à Audenge. Places limitées, aussi je vous invite à réserver dès à présent au 06.67.56.94.99.

    Une conférence/atelier à la librairie Pégase, 13 rue Toulouse Lautrec à Bordeaux.  Le 12 février  2016

    Avec une Dédicace du livre «  Solange et les secrets » de 14h-16h et

    De 16h-18h Conférence/atelier :  Que nous racontent nos maladies? par Chantal Feugnet sophrologue, consultante Métamédecine.  Nos maladies infectieuses, rhinites, bronchites, grippes, otites, ont-elles un lien avec nos émotions et nos ressentis ? De quoi nous parlent-elles ? A quelle symbolique ces organes sont-ils en lien ? Et quelles questions peut-on se poser face à leurs symptômes ?  Entrée 5€ inscription 06.67.56.94.99

    Consultations au centre Quintessence les : jeudis 28 janvier, 4, 11, 18, 23 février sur RV au 06.67.56.94.99

    Les autres jours de la semaine consultations à Audenge.