partage

  • Les systèmes parasympathique et orthosympathique

    Bambou zenCe sont des systèmes bis phasiques qui régulent le rythme de l’alternance entre veille et sommeil. La vagotonie stimule notre tonus (système orthosympathique) chaque fois que nous devons être performants. Ce que nous appelons aussi parfois être dans un stress positif. L’orthosympathique active le système hormonal pour qu’il sécrète, adrénaline et cortisol, dont nous avons besoin pour être en état de veille. C’est à dire pour agir, pour travailler, faire du sport, pour faire l’amour, pour créer.

    Le système parasympathique nous conduit en phase de repos, de sommeil, mais pas seulement. Ce système active et stimule, entre autre, la production d’acétylcholine. Au fil des nuits et des moments de repos, nous sommes en phases de récupération. Le repos se compose aussi de ces moments que nous nous accordons à ne rien faire. Les vacances, les jours de congés, sont destinés à cet état. Ils nous permettent de retrouver le calme, la paix, dont nous avons besoin pour nous ressourcer, pour reconstituer notre énergie. Afin de repartir au travail en pleine forme. Souvent mal compris, ce temps de repos est utilisé dans diverses activités. Ce qui fait dire à certains au retour de vacances qu’ils sont encore fatigués.

    L’alternance, entre ces deux phases actions et repos, est primordiale pour maintenir un bon équilibre et assurer une bonne santé à notre organisme. Malheureusement, il y a une croyance assez répandue qui parle du stress positif par opposition au stress négatif. Mais peu importe, qu’il soit négatif ou positif, un stress reste un stress. Il stimule et active nos hormones destinées à nous maintenir en état de veille. Ainsi il bloque celles destinées à nous permettre de récupérer.

    La personne qui sollicite ainsi trop souvent son système orthosympathique expose son corps, qui a un besoin fondamental de repos, à déclencher une maladie, dans le but d’obliger la personne à se reposer, comme la grippe par exemple. C’est le seul moyen que le corps possède pour se faire comprendre. C’est pour cela que parfois on commence ses vacances par être malade. Dans ce cas là, le corps cherche d’abord à récupérer, parce qu’il sait que les prochains jours ne seront pas de tout repos !

    La tendance actuelle consiste à être constamment actif, même en période, de dite de repos, comme les jours de congés où l’on s’occupe avec diverses activités  peut devenir un handicap, si on ne respecte pas un équilibre entre ces deux phases. Faire du sport permet de fortifier notre état musculaire et d’éliminer les toxines emmagasinées lors des phases de travail où l’on s’est mis la pression, du stress négatif et même du stress positif. Les distractions aussi sont nécessaires, parce qu’elles nous procurent joie et plaisir. Ce qui participe à maintenir une bonne santé. Mais notre société, stimule notre hyper activité en permanence. Et certains oublient trop souvent que le repos, qui consiste à ne rien faire, est une nécessité vitale pour notre organisme.  

    C'est la raison pour laquelle, la méditation, la relaxation, la rêverie, sont indispensables pour nous permettre de récupérer notre énergie perdue. Parfois, ceux ou celles qui pratiquent cette formule, se sentent coupables. Elles pensent que cela dénote un problème chez elles. C’est faux.

    La première question à se poser, après avoir repéré des symptômes et après avoir reçu le diagnostic du médecin, et son traitement, c’est : Qu’est-ce que cette maladie m’empêche de faire ? Est-ce qu’elle m’empêche de marcher, de conduire, de faire du sport, de partir en vacances, de travailler ? La réponse à cette question contient la résolution au problème qui a généré la maladie. Dans ce cas, la première chose à faire c’est de rester tranquille, afin de permettre à son corps de récupérer. Les autres questions apporteront des pistes plus précises sur le mal être émotionnel qui nous affecte.

    Ensuite, s’il s’agit du travail, qui ne nous procure plus aucun plaisir, s’il ne suscite plus d’intérêt pour nous, alors c’est qu’il est temps d’en changer. D’autres parts, certaines personnes me disent, mais j’aime mon travail, c’est ma passion. Certes, c’est une bonne chose, mais le danger peut aussi venir de là. Est-ce que je n’en fait pas trop ? Est-ce que ma passion ne m’empêche pas d’écouter mon corps, qui lui a un rythme à respecter ? Ou bien est-ce avec une personne en particulier, qui travail dans cet environnement, que ce trouve le malaise ? Peut-être que de trop travailler me permet de fuir une autre situation, plus intime ?  Tout cela est à prendre en compte.

    Bonne réflection

    Chantal 

     

  • Les centres énergétiques du corps humain


    1380005982A quoi cela peut-il nous servir ?

    Cette image représente les différents centres énergétiques du corps  par lesquels il reçoit et envoie des informations. Ceci grâce à l’énergie magnétique qui circule à l’intérieur et à l’extérieur de lui. Ces énergies peuvent être tantôt positives ou au contraire négatives.

    Notre corps  et notre cerveau ont  besoin d’énergies positives pour être plus performant, pour être au top de leurs capacités. Les énergies négatives leurs font perdre une partie des leurs capacités et les affaiblissent.

    Je parle ici d’énergies magnétiques, qui se transmettent comme une f
    orce, une puissance, une vigueur. Ou au contraire, une faiblesse, de l’impuissance, une perte d’énergie. En physique, il s‘agit de systèmes qui expriment leur capacité à modifier l’état d’autres systèmes avec lesquels ils entrent en interaction.

    Nous voyons, sur cette image ce que représente chaque centre énergétique du corps. En partant du bas, la survie, le plaisir, la volonté, l’amour, la vérité, la connaissance et l’interaction avec les autres et aussi le cosmos.

    Nous y voyons aussi  ce qui peut empêcher la réception de telles ou telles informations. Comme un égo trop fort, des illusions, les mensonges, le ressentiment, le sentiment de honte, le sentiment de culpabilité et la peur. Mal géré ces informations peuvent nous faire perdre de l’énergie.  

    Nous savons aujourd’hui, grâce aux neurosciences que chaque individu possède cette capacité à entrer en contact par ces centres énergétiques avec d’autres individus. Notre cerveau notamment est doté de neurones qui envoient des ondes vibratoires aux autres cerveaux qui l’entourent. Ce transfert s’opère sans que nous en ayons conscience.

    Donc nous émettons et nous recevons des informations à l’insu de notre conscience, venant de tout ce qui nous entoure. Mais nous ne sommes pas tous au courant de ces transferts. Cependant, nous avons tous la capacité de prendre conscience de ces connexions. Et de décider d’utiliser l’énergie de façon plus positive.

    Cette connaissance sur le fonctionnement de ces centres d’énergie, nous aide à faire la différence entre ce que nous envoyons et ce que nous recevons, afin de faire d'abord le tri entre ce qui nous appartient et ce qui ne nous appartient pas. Comme pour les émotions par exemple. Car dans toutes les émotions que nous ressentons toutes ne viennent pas de nous.

    Il faut savoir que ces émotions ressenties qui viennent de l’entourage, peuvent modifier notre système énergétique interne et donc nous affaiblir si elles sont négatives ou nous stimuler si elles sont positives. Donc notre intérêt est d’apprendre à gérer notre système émotionnel. Et pour cela, nous devons nous libérer d’une idée reçue, qui consiste à croire que nous n’avons pas de pouvoir sur nos émotions. S'il est vrai que parfois elles peuvent nous emporter sans que l'on s'en rende compte, il est aussi vrai qu'une pensée peut générer une émotion selon son genre positive ou négative.

    Plus vous serez à l'écoute de vos émotions et de vos pensées, plus sous serez capables de les transformer.   Donc si vous  transformez une pensée négative en pensée positive, vous avez du pouvoir sur vos émotions. Et vous pouvez choisir d'être plus souvent positif.

     

    Lumineuses pensées

    Chantal

     

  • Juger, condamner ou discerner?

    Est-ce vraiment donner à tout le monde pareil, ou à chacun ce dont il a vraiment besoin ? Comment savoir ? Juger, Comparer, Condamner sont des activités étroitement liées dans notre apprentissage. Ainsi nous oublions qu'il nous est possible de Discerner.

    Juger c’est faire preuve de discrimination (en revenant au sens premier du terme dont la racine est le discernement) c'est aussi s'offrir la possibilité d'ouvrir un regard nouveau sur les éléments de notre vie. Et si nous apprenions à mettre de côté, pour un temps seulement, les aspects émotionnels que nous associons à notre vécu pour gagner en perspicacité ! Qu'en pensez-vous ?

    Apprendre à discerner ce dont nous avons réellement besoin, n’est pas si évident que cela n’y parait. Selon les familles cette notion peut être différente. Certains d’entre nous ont appris à faire passer les besoins des autres avant les leurs. Alors que d’autres ont su très tôt combler leurs besoins. Ceux-là ont eu des parents ou éducateurs qui ont bien remplis leur tâche.

    Les premiers ont eu des parents qui ont inversés la nature de la relation parent, enfant. Le bébé a des besoins, outre celui de manger, être changés, de sommeil, ect, il a besoin d’attention constante, d’affection, qu’on s’intéresse à lui, qu’on lui parle, qu’on le console, qu’on le protège. Parfois de peur que leurs enfants deviennent égoïstes, ces parents veulent que leurs enfants pensent aux autres avant de penser à eux-mêmes. Ils inversent l’ordre des choses.

    Il faut savoir qu’avant sept ans l’enfant ne peut pas raisonner. Cependant, il est dans une phase d’apprentissage constante. Cette première phase d’apprentissage est très importante. Elle commence par l’imagination. L’enfant s’imagine faire comme les adultes qui l’entourent. Ensuite, après quelques mois, il commence par imiter ses modèles. A partir de sept ans et jusqu’à 15 ans, il construit son rationnel, sa capacité de réflexion.

    Ensuite, L’adulte répète ce qu’il a appris. Et les modèles que nous avons eus, ne savaient pas non plus très bien répondre à leurs besoins. Ils  ont donné à leurs enfants ce dont ils auraient eu besoin, eux-mêmes, et qui leur a manqué, dans leur enfance. L’essentiel est de savoir qu’aujourd’hui nous pouvons encore apprendre à prendre soin de nous. Cela consiste en quoi ?  A nous poser la question : De quoi ai-je besoin en ce moment ? Et d’attendre la réponse.

    Comme nous n’avons pas l’habitude de fonctionner ainsi, la réponse peut prendre un peu de temps avant de se manifester. Il suffit d’être patient. L’habitude étant un reflexe conditionné, pour la changer, nous devons répéter la nouvelle attitude pendant vingt et un jour consécutifs pour qu’elle s’imprime dans notre cerveau limbique, qu'elle devient automatique et qu'elle donne naissance à une nouvelle habitude.

     

  • Le pardon et la maladie

    Le pardon et la maladie

    Le pardon envers nous-mêmes, envers l’autre est un facteur très puissant, il éclaire la situation, il apporte  une nouvelle compréhension, il libère, il guérit. A condition de ne pas le confondre avec l’excuse. Il est des comportements qui sont difficilement excusables. Le pardon envers nous-mêmes consiste à devenir l’avocat de l’enfant que nous étions et pour pardonner il est nécessaire dans un premier temps, d’accuser, de dénoncer, de révéler. 

     Le déclencheur de la maladie est très souvent en lien avec un évènement dérangeant, voire douloureux. Celui-ci nous donne une piste  pour retrouver son origine, qui nous conduit parfois dans l’enfance.  Parce que cette période de la vie est très fragile. Par nature, l’enfant est hypersensible, émotif  et joueur. Son rationnel lui fait défaut jusqu’à l’âge de six ou sept ans, à partir de là et jusqu’à quinze ans, sa raison s’édifie peu à peu.

    C’est pour cette raison que les enfants éprouvent de façon erronée de la honte ou de la culpabilité, qui sont des sentiments dévastateurs, destructeurs. Avec eux, la maladie va se développer sournoisement. Le corps exprime ainsi le ressenti accumulé. Et c’est pourquoi il est utile de retrouver nos vieux contentieux, nos blessures oubliées. Car le corps, lui n’oublie pas. Et le travail de destruction ne s’arrête qu’une fois que nous avons tout nettoyé.

    Après et seulement après, le vrai pardon peut s’installer. Parce ce qu’il existe de faux pardons.  Il est des excuses qui ressemblent au pardon et qui n’en sont pas. Bien souvent nous croyons sincèrement avoir pardonné, alors que nous n’avons fait qu’effleurer le sujet. On entend souvent l’entourage dire que nous devons pardonner dans le sens de tourner la page. Ce serait sans compter sur le corps émotionnel, qui demande un gros travail sur soi pour se dégager. Cela ne peut pas se faire en un claquement de doigt. Il s’agit d’un cheminement intérieur, que nous faisons en étant accompagnés.

    Pardonner en superficie, intellectuellement, mentalement, ne peut suffire à éradiquer une forme-pensée ou croyance imprimée dans le corps, car celui-ci n'est pas dupe et vous ne pouvez pas le tromper .Avant de pardonner il est nécessaire d’accuser, de se donner le droit d’exprimer toute sa colère, son ressentiment, de dire tout ce que l’on a sur le cœur, avec son accompagnateur. Cela nous permet de reconnaitre et de prendre conscience de ce qui s’est réellement passé. A partir de là, le vrai pardon se ressent, le corps se dégage, se libère et retrouve la santé.J

    Chaleureusement

    Chantal

     

  • A quoi nous servent nos émotions


    Ce mois-ci je veux vous parler de l’importance de  nos émotions et de nos pensées sur notre santé, physique et psychique. Nous ne sommes pas égaux dans ce domaine. Sauf pour reconnaitre que les émotions désagréables nous dérangent.  Certains auront appris à les réguler, d’autres se laisseront envahir, et d’autres encore les bloqueront.

    La croyance, que nous ne pouvons pas intervenir sur nos émotions, est  pourtant très répandue. Peut-être parce que l’émotion est soudaine et spontanée. Je crois que jusqu’à présent, nous ne savions pas vraiment à quoi servent nos émotions. Elles sont là un point c’est tout.

    Parfois, nous entendons dire d’une personne qu’elle est trop émotive, pour signaler qu’elle exprime abondamment ses émotions. Et pour celle, qui les manifeste rarement, le qualificatif sera timide ou peu expressif. Ainsi ces personnes sont identifiées d’après leur façon d’exprimer ou pas leurs émotions.  

    Les dernières recherches sur cette question indiquent que nos émotions sont en lien directe avec nos pensées. Elles sont là pour exprimer, ce que nous ressentons dans une situation particulière. Si la situation est agréable, nous serons à l’aise, gais, emballés, joyeux, etc. Tandis que si elle est désagréable, nous serons affligés, agacés, froissés ou effrayés, agités, coincés, etc. En fait ces mots expriment des émotions.

    Certains montrent leurs émotions et d’autres ne montrent pas leurs émotions, ce qui ne veut pas dire qu’ils ne les ressentent pas. Quand je dis que nos émotions sont importantes, je parle de leur impact sur notre corps, donc pour nous-mêmes. Dans cet exposé, l’important c’est d’en prendre conscience, de les nommer  et savoir ce qu’on va faire avec. Outre le fait que les autres peuvent savoir ou pas ce que l’on a ressenti dans une situation, le plus important pour soi, c’est de les ressentir et de les comprendre.

    Selon le contexte dans lequel je suis, je vais avoir intérêt ou pas à montrer mes émotions. C'est-à-dire que si je suis avec des personnes en qui je n’ai pas confiance, je n’aurais intérêt ni  à exprimer, ni à montrer mes émotions. Tandis que si je suis entourée de personnes en qui je sais que je peux avoir confiance, j’aurais intérêt à être vraie et authentique, donc je vais pouvoir exprimer mes émotions sans crainte.

    Mais, le plus important c’est de regarder nos émotions, car elles nous donnent des informations sur la situation que nous vivons sur le moment. Ce qui est important, c’est d’en tenir compte et de les comprendre afin d’agir en conséquence. Par exemple : je suis avec des personne et je suis  mal à l’aise. Je vais devoir prendre en compte mes émotions et la situation, pour comprendre est-ce ces personnes ou ce que nous vivons qui me met mal à l’aise ? Ma décision d’agir sera différente selon la réponse à cette question. Donc dans un premier temps, je dois identifier qu’est-ce qui me met mal à l’aise. Je me questionne moi-même. Si la réponse qui me vient de ma petite voix intérieur me dit qu’il s’agit des personnes, je vais devoir identifier, c'est-à-dire mettre de mots sur mes émotions. Elles me font peur ? De quoi j’ai peur ? Suis-je obligée de rester avec ces personnes? Ou puis-je partir?

    Donc, ce qui est important, ce n’est pas ce que les autres pensent, mais ce que moi je ressens. Nous devons admettre qu’il y a des gens bien intentionnés et d’autres mal intentionnés. Nous ne pouvons pas faire confiance à tout le monde.

    La confiance, c’est d’abord à nous que nous devons l’accorder. Nos émotions sont souvent nos meilleures alliées. L'image du lion symbolise bien nos émotions, elles sont une force que nous pouvons utiliser quand nous en avons besoin. Mais nous ne devons pas laisser cette force prendre le dessus, nous dominer, parce qu'alors nous sommes sous son emprise. Elle peut devenir destructrice.

    Prenons la colère, elle nous indique qu'il y a une frustration en nous. Cette frustration représente un manque. Nous avons besoin de quelque chose. Et un besoin c'est vital. Donc il est nécessaire que  nous identifions ce besoin, parce qu'il est vital pour nous de le combler. Et nous ne devons pas confondre un besoin et un désir. Un désir nous pouvons le reporter, pas le besoin.

    Notre premier besoin sera d'identifier nos émotions, car c'est elles qui sont les mieux placées pour nous conduire à nos besoins. Comme nous sommes devenus des adultes, c'est à présent à nous et personne d'autre de combler nos besoins. C'est en tout cas, la meilleure façon d'aller vers notre épanouissement. Et donc d'entretenir et de préserver notre santé. Lorsque nos besoins sont comblés, nous sommes en paix, c'est alors la joie qui sera l'émotion du moment. Cultiver la joie c'est le meilleur moyen pour rester en bonne santé.

    Je vous souhaite de garder l'émerveillement de l'enfance, l'enthousiame pour vos rêves, la joie et le plaisir envers la vie. 

    Chantal 

     

     

     

     

  • Changement de paradigme

     

    Changement de paradigme

    Qu’est-ce qu’un paradigme ? Il s’agit d’un ensemble de comportements pris comme modèle, par un ensemble de personnes. Autrefois, ces comportements trouvaient un public près à tout pour suivre ce qui, à leurs yeux, était exemplaire. Certains hommes étaient adulés par d’autres, parce qu’ils étaient arrivés au sommet d’une hiérarchie. Peu importait la façon dont ils s’y étaient pris pour en arriver là. Seul comptait le fait qu’ils occupaient cette place de dominant.

    L’année qui vient de s’écouler, nous a conduits dans un changement de paradigme, un changement de société. Ce modèle d’homme est devenu obsolète, périmé, inadmissible. Désormais, seront pris comme modèle ceux qui auront non seulement démontrés leur courage, leur force mentale, leur persévérance, leurs capacités de dirigeant, d’artiste, de chercheurs, de scientifique, de géni, d’hommes politiques. Mais qui auront  aussi démontré un sens moral, un respect de l’humain, du vivant avec une capacité d’empathie.

    Cela nous a fait vivre de grands chamboulements. D’un seul coup, ce qui était tu, caché, mis aux oubliettes, s’est exprimé, la parole s’est libérée. La face cachée de notre société nous a explosée en pleine figure. Cela a crée des chocs et ces chocs nous ont amenés à vivre d’intenses émotions. Des émotions que nous n’avions pas l’habitude d’exprimées, parce qu’elles étaient cachées elles aussi, enfouies au fond de nous.

    Avec cette nouvelle année 2018, nous entrons dans une nouvelle énergie émotionnelle. C'est-à-dire que, tous ces scandales ont  provoqués des geysers  émotionnels. En 2018, nous allons devoir apprendre à réguler nos émotions. C'est-à-dire que nous allons apprendre à regarder nos émotions sous un autre angle de vue. Et pour cela, nous allons devoir prendre un peu de recul, un peu de distance avec nos émotions. Apprendre à les reconnaitre, à les nommer, à les identifier, sans les juger, ni pour autant se laisser aller complètement dedans.

     Cet exercice a pour effet de pacifier ce qui soudain vient nous déranger, nous met en colère, parce que cela bouscule nos croyances. L’ancien régime donnait une image lisse, glacée, polie, sans aspérités. La vérité est toute autre, elle met au jour à la fois le beau, l’admirable, mais aussi le laid, l’abominable. Qu’allons-nous faire avec ça ? Tant qu’on ne savait pas, c’était facile de faire comme si rien n’était. Mais à présent on sait ! Comment allons-nous nous comporter ?

    Nous allons devoir regarder la situation autrement. Par exemple : autrefois une femme, qui se faisait agresser sexuellement, qui se faisait violée, c’était de sa faute. Parce qu’elle était une femme, elle avait provoqué le désir chez celui qui l’avait agressé. Aujourd’hui, c’est le contraire, nous désignons l’agresseur, le violeur, comme étant le coupable. La faute a changé de camp. Tout naturellement ce changement de regard nous amène à comprendre que l’agresseur, le violeur est responsable de la façon dont il utilise ses émotions, ses pulsions, son énergie sexuelle. Nous prenons conscience qu’il n’avait pas appris à gérer cette énergie, sexuelle et émotionnelle.

    Et nous, que faisons-nous avec cette énergie ? L’avons-nous réprimée, étouffée, mise aux oubliettes ? Certes, la parole est libérée, mais elle génère des émotions. Que faisons-nous avec ? Comme pour l’année précédente, nous serons conduits à prendre en compte nos émotions avant de prendre de nouvelles décisions. Certains d’entre nous aurons besoin d’un accompagnement pour comprendre et digérer les situations devenues inacceptables. Vivre avec nos émotions va nous amener à transformer nos modes de comportements. Et pour en arriver là, nous allons devoir changer nos croyances, nos opinions, nos principes, nos convictions. La réalité des faits, nous fera découvrir la violence sous toutes ses formes.  Pour ne pas tomber pas dans des excès de toutes sortes, apprendre à réguler nos émotions sera la meilleure façon de procéder.

     

    Avec mes plus belles pensées d'amour

    Chantal

  • Marie et ses émotions

    Bonjour chers amis,

    Bras ouverts 1

     

    Marie est ce qu’on appelle communément une émotive. C'est-à-dire qu’elle exprime ses émotions assez spontanément. Autant les émotions « dites négatives » que celles « dites positives ». Elle pleure facilement et peut aussi éclater de rire et s’émerveiller devant une fleur ou un animal. Quand elle exprime sa joie et sa bonne humeur, ses amis recherchent sa compagnie. Parce qu’elle est aussi capable d’encourager et de soutenir ses amis. Très souvent, elle remonte le moral de ceux qui l’entourent.

     

    Mais dès qu’elle vit une situation difficile et qu’elle veut en parler, tous sont unanimes pour lui faire remarquer qu’elle estTriste trop émotive. Pourtant, les recherches  effectuées dans ce domaine nous indiquent que nos émotions jouent un rôle important pour notre santé physique, psychologique et psychique.  Certes, le résultat  de ces tests donne, les émotions agréables, comme la joie, la satisfaction, la gratitude, plus efficace pour notre cerveau, qui, comme vous le savez, reste le chef d’orchestre pour l’ensemble de notre corps. Nos émotions de joie et de plaisir permettent la sécrétion d’hormones comme la sérotonine et les endorphines, qui sont des calmants naturels responsables de la sensation de bien-être. Ce qui apporte à notre corps l'harmonie nécessaire au bon fonctionnement de celui-ci.

    Tandis que les émotions  désagréables comme la peur, la colère, libèrent dans l’organisme du cortisol, l’hormone du stress, qui augmente le taux de sucre dans le sang, afin d’augmenter notre force musculaire. Dans le but de nous permettre de courir dans le sens opposé au danger.

    TigreMalheureusement, notre organisme ne fait pas la différence entre ce que l’on éprouve face à une bête féroce et ce que l’on éprouve dans les embouteillages. C’est pour cette raison  que les neuroscientifiques nous conseillent de réguler nos émotions. C'est-à-dire, que de les nier, comme par exemple, dans une situation particulière, je me dis « ah non ! Je ne veux pas me sentir coupable », cela nous indique je me suis sentie coupable, mais que j’ai mis cette sensation désagréable aux oubliettes. Le  problème  c’est que cette sensation va se fixer quelque part dans mon corps.

     Comme nous ne pouvons pas éviter d’avoir des émotions, le conseil de régulation dont nous parlent les scientifiques c’est d’apprendre à ressentir nos émotions afin de les identifier et de les nommer. Est-ce une peur ? De quelle peur s’agit-il ? Cela nous permet de cultiver les situations qui nous procurent du bien-être et d’éviter autant que possible les situations qui génèrent du stress. Ou de réfléchir à une action capable de nous protéger du danger. Ensuite nous pourrons retrouver la sérénité du corps et de l'esprit. Dans un embouteillage, par exemple, je peux avoir peur d’être en retard à mon rendez-vous. Je peux alors prévenir que je suis coincée dans un embouteillage.

    Ensuite, je peux très bien regarder un beau paysage ou écouter une musique plus calme, que j’aime, parce que cetteLever de soleil sur la dune du pyla beauté me procure de la joie. En me concentrant sur la beauté j’active les hormones de la sérotonine et des endorphines, qui vont me calmer, m’apaiser. De cette façon,  je développe, ce que les scientifiques appellent « L’intelligence émotionnelle ». Ainsi,  j’arrive sans stress à mon rendez-vous.  Et je serai plus efficace. 

    Lumineuses pensées

     

     

      

     

     

  • Le rapport de force

    Co workers 294266 340Bonjour chers amis,

    Qu’est-ce qu’un rapport de force ? Il s’agit d’un comportement qu’un individu adopte face à un autre individu. Parfois, lors  de repas de famille, au bureau, dans une administration,  cours d’un dîner, etc, Nous observons ces deux personnes aux prises entre elles sur un sujet donné. Cela peut être la politique, le sport, l’éducation, la culture bio, etc… Vous avez surement assistez à ce genre de scène, au cours d’échanges qui se voulaient amicaux, peu à peu deux individus ont commencés à s’interpeler mutuellement et inconsciemment. C’est ainsi que les autres personnes présentent à la discussion ont finis par lâché-prise et juste écouter et regarder le match entre les deux protagonistes. C’est à celui qui surenchérit plus que l’autre, qui avance des arguments de plus en plus fort. Le ton monte entre eux, chacun s’emballe et cherche à convaincre l’autre. C’est sans fin et parfois cela dégénère. Parce que chacun veux avoir raison.

    Voilà le maitre mot du rapport de force « vouloir avoir raison ». C’est une des causes principales qui crée le rapport de force. Il en existe d’autres plus inconscientes qui agissent dans l’ombre de beaucoup d’individus. Cependant, la plus consciente est celle de vouloir avoir raison. Et lorsque l’on se retrouve dans ce genre de situation et que l’on en prend conscience, la première chose que l’on se dit c'est « mais, je sais que j’ai raison ! ».  Et si vous  demandez à l’autre personne, elle vous répondra la même chose. En fait les deux sont persuadés d’avoir raison. Souvent, pour que cette discussion sans fin s’arrête, un tiers entre dans le match en les interpelant pour leur demander de cesser de monopoliser la parole.  

    Fight 1899082 340Ce qu’il est important de retenir dans cette échauffourée, c’est que la vérité avec un grand « A » n’existe pas. Il y a plusieurs points de vues. Mis bout à bout, ils peuvent constituer une vérité plus approfondie. Mais personne ne détient la vérité absolue. Ce qui se passe, la plus part de temps, c’est que dans ces échanges et ce que l’on ne voit pas, c’est l'énergie qui circule. Cette énergie circulait au début dans l’échange amical cité plus haut. Elle circulait entre tous les individus. Alors que s’est-il passé pour que cela dégénère ainsi ? Simplement, un individu se sentait en perte d’énergie, un peu fatigué et pour en récupérer il a saisi l’occasion de prendre la parole et d’attirer l’attention des autres personnes vers lui. Et une autre personne, de l’assemblée, s'est elle aussi sentie en perte d’énergie, donc elle a voulu récupérer l’attention du groupe. Cela se passe très souvent comme ça.

    Parfois au cours de cette échauffourée, un des deux protagonistes décide de clore l’entretien en abdiquant, c'est-à-dire en disant « Bon tu as raison ! » et il s’en va. Dans ce cas, la personne qui abdique peut se sentir fatiguée. Cela indique qu’elle vient de perdre de l’énergie. Pourquoi ? Parce qu’en agissant ainsi cette personne vient d’accepter d’avoir tord. Elle a permit à son adversaire de gagner. Elle lui a ainsi transféré son énergie. Et avoir tord, nous fait perdre notre énergie. Vous remarquerez l’attitude du gagnant. Il déborde d’énergie, tandis que le perdant part la tête baissée. C’est ainsi, nous ne pouvons rien changé à cela.

    Bras ouverts 1Pourtant, nous pouvons apprendre à sortir d’une situation similaire sans perdre notre énergie. Pour cela nous avons besoin de comprendre ce qui sous-tend ce genre de relation, ce qui se joue au fond. Quels sont les mécanismes à l'œuvre? Qu'est-ce qui peut nous pousser à agir inconsciemment ainsi? Comment ne plus être poussé dans ce genre de situation?

    Pour garder notre énergie nous avons besoin de comprendre nos propres mécanismes, nos propres pulsions qui nous poussent dans ce genre de match. De comprendre comment cette énergie dont je parle agit en nous.  

    Possibilté d'échelonner le paiement.

     

  • Le souffle de vie

    Bonjour chers amis,

    Nous voici au printemps, Chaque jour nous pouvons voir le renouveau de la nature, qui  exprime sa créativité.

    Certains  arbres élèvent leur feuillage vert tendre vers le ciel, cherchant la lumière. Quand d’autres embaument l’air de leur fragrance. Peu importe le temps qu’il fera demain. Ils ne cherchent qu’une chose « s’épanouir » en vivant l’instant présent.  

    Nous sentons tous cette énergie de vie qui nous traverse, qui nous insuffle des idées nouvelles  et nous pousse en avant. Nous pouvons inspirer cette beauté offerte par la nature et sentir la joie qu’elle nous procure. La joie est une énergie  pleine d’amour. Elle nous transporte, nous fait du bien, nous encourage à vivre et à savourer de délicieux moments.

    Nous aussi nous cherchons à nous épanouir, à libérer nos talents cachés, à exprimer notre créativité. Les temps changent, c’est le moment de réaliser nos rêves, de faire ce que l’on aime. Parce que c’est ce que nous faisons le mieux. C’est aussi ce que d’autres ont besoin. Le partage des connaissances, des idées, nous fait avancer vers le changement et le renouveau.

     Embaumons nous aussi l’air avec nos pensées de joie et d’amour. Peu importe les rabats joie, la vie va toujours dans le même sens, de l’avant, nous aussi.

    Je vous souhaite un joyeux et prospère printemps.

     

    Il reste encore une ou deux places pour le stage:

    « Apprendre à libérer sa mémoire émotionnelle » du 28.29.30 avril.

    Pensez à vous inscrire aussi pour celui du 27 au 28 mai  

    « Impact des croyances et des projections sur nos relations »

    Les deux plus importantes découvertes du vingtième siècle en matière de connaissance sur le comportement humain ont probablement été celles de l’importance de l’attachement par John Bowlby en  1950 et celles de l’empathie par Carl R. Rogers en 1940. Ces découvertes ont ensuite été mises en lumière par celles de Giacomo Rizzolatti au sujet des « neurones miroirs » en 1996. Ces capacités innées chez l’enfant jouent un rôle essentiel dans la création des liens sociaux. Comprendre comment  ces liens positifs ou négatifs  se sont crées dans notre enfance.  Découvrir comment ils se sont immiscés dans nos relations d’aujourd’hui et comment s'en libérer.  

    Belles fêtes de Paques et lumineuses pensées.

    Chantal

  • Meileurs vœux

    Bonjour chers amis

     

    Je souhaite qu’en 2017 le ciel soit  clément pour vous et toute votre famille.

    Que les transformations nécessaires à votre évolution s’effectuent en douceur, dans le partage, la solidarité et la bienveillance et l’amour.

    Après une année de réflexion, de quête de vérité,  voici 2017 avec son énergie de changement, de prise de conscience, de prise de décision et de passage à l’action.  Le maître mot c'est ACTION !

    Alors osons ! On ne sait jamais c’est peut-être le projet qui nous semblera le plus fou, qui se réalisera. Ne cherchons pas à savoir comment cela est possible, disons simplement ce que nous aimons. Ce qui nous fait vibrer. Puis Osons passer à l’action. Cette année nous invite à agir.

    Osons écrire tous ce qui pourra combler nos besoins, nos désirs, nos rêves. Soyons bienveillant et généreux avec nous-mêmes. Osons poser des actions qui vont concrétiser nos projets. Osons prendre le risque de les voir se réaliser.

    Osons changez de vie, osons prendre notre vie en main, osons saisir les opportunités qui se présenteront à nous.

    Ne nous laissons pas abattre par les mauvaises nouvelles véhiculées par les médias, parce que se sera un mal pour un bien. C’est ainsi que se font les changements de société.

    2017 est une année qui risque de nous bouleverser. Accueillons le changement. Surfons sur la vague du renouveau ! Osons entreprendre.

     

    Consultations sur rendez-vous à Audenge, Lormont et par Skype.

    Au 06.67.56.94.99

     

    Information des activités en janvier :

    Conférence Centre Quintessence à Gradignan

    Impact émotionnel sur notre dos

    Vendredi 13 janvier 2017

    Salle Lotus

    Conférence/atelier animée par Chantal Feugnet

     

    160 f 15778236 5eitk7cxxfrt0ias1lxfepnvce8k3d0y 1Cette Conférence /atelier fait suite au système digestif

    Notre dos, nous interpelle avec ses malaises et maladies. De quoi nous parle-t-il ? Douleurs des cervicales, des dorsales, des lombaires, ces symptômes sont des alertes envoyés par notre corps afin d’attirer notre attention sur une problématique qui perturbe notre équilibre psychique. La gravité de ces symptômes nous indique qu’il est temps de comprendre ce qui se cache sous ces problématiques.

    Pouvons-nous comprendre ce qui les a déclenchés, peut-être avons-nous fait un faux mouvement, porter des poids, ect ? Se sont des causes physiques. Pourtant ces causes physiques nous donnent des précisions sur le déclencheur  et nous permettent explorer le mal-être  intérieur qui s’y rattache. De quoi  pourrait-il être question ? Vous  trouverez lors de cette conférence/atelier des clefs pour mieux comprendre le fonctionnement de votre corps et les liens qui l’unissent aux émotions non exprimées.

    Places limitées à 20 personnes, pensez à réserver au 06.67.56.94.99

    Entrée 8€

     

    Chaleureuses pensées

    Chantal