Notre principal organe, notre cerveau

 

Je vous souhaite tous mes vœux pour cette nouvelle année 2019. De la beauté, autant intérieure qu’extérieure. Car regarder la beauté peut nous guérir de nos maux.

Aujourd’hui je viens vous parler d’un des principaux organes de notre corps, dont on ne parle pas assez, notre cerveau. C’est lui qui dirige tous les systèmes, cardiaux vasculaires, intestinaux, endocriniens, musculaires, ostéo-articulaires, neurovégétatifs, ainsi que nos pensées, notre imagination. C’est le chef d’orchestre de notre corps.

Ce dont on nous parle moins au sujet de botre corps, c’est de sa partie la plus importante. Notre cerveau. Il travail à 100%, il ne s’arrête jamais. Même quand nous dormons il effectue des tâches pour nous maintenir en vie. Les expériences menées par les neuroscientifiques ont démontrées que 99% des fonctions cérébrales étaient inconscientes. Nous ne sommes conscients que de 1% du travail effectué par notre cerveau. C’est vraiment très peu.

Nous avons donc intérêt à faire en sorte de devenir de plus en plus conscient de son travail. Mais comment faire ? Procédons par étapes. Nous savons que ce sont nos émotions qui renforcent tous ces systèmes, soit de façons bénéfiques, soit de façons néfastes. Et pour certains d’entre nous, nous ne les ressentons même pas, tellement nous avons enfouies celles qui nous dérangent. Malheureusement pour nous ce sont celles là, les plus destructrices.

 Donc la première chose à faire c’est de prendre conscience de nos ressentis, de nos émotions. Et il y a aussi autre chose dont ne sommes pas toujours conscient, ce sont nos croyances. Elles aussi nous devons apprendre à les reconnaitre, puis les identifier et les comprendre, avant de les utiliser. Il existe des méthodes pour prendre conscience.

L’une d’elles c’est la méditation en pleine conscience. Qui consiste à se poser, et à se concentrer sur sa respiration. C’est un bon moyen pour vider notre cerveau encombré de toutes les choses à faire, à ne pas oublier ou pour lesquelles nous n’avons pas encore trouvées de solutions. Commencer par quelques minutes, puis augmenter progressivement le temps accordé à cette activité.

On peut aussi, quand on se sent mal, se poser respirer profondément et se questionner. Par exemple : quel est ce mal être qui m’habite en ce moment ? Puis je concentrer sur l’air qui rentre et l’air qui sort de notre nez. Et laisser ainsi la réponse venir toute seule. Ou encore posez-vous cette question le soir avant de vous endormir et demandez que la réponse vous soit donné  dans un rêve. Ensuite, il sera nécessaire d’écrire le rêve, pour y revenir plus tard et le décoder.

Ensuite que faire des réponses que nous auront trouvées ? Chercher à comprendre le manque qui se cache derrière, afin de le combler. Ne plus attendre que se soit nos proches qui les comblent. Nous sommes les seuls à pouvoir le faire.Vous pouvez aussi participer à un stage sur ce sujet.

Chaleureuses pensées

Chantal