amour

  • La biologies des croyances

    La biologie des croyances


    Imagestua4cfc3De quoi s’agit-il ? Les neurosciences indiquent que nos gènes ne sont pas uniquement contrôlés par, la transmission génétique de nos parents et ancêtres, mais aussi par notre environnement. Nous croyons que ce sont nos gènes qui contrôlent notre santé, par exemple, quand on découvre que nous avons la même maladie qu'un parent, comme le cancer.  Et nous pensons être victime de nos gènes. Nous ignorons que nous avons, aussi le pouvoir de rester en bonne santé.

    95% du temps, notre corps est dirigé par des programmes inconscients, des automatismes qui viennent de ce que nos parents et ancêtres croyaient. Mais pas seulement, car nous avons nos propres coyances, dues à nos apprentissages, qui génèrent d'autres automatismes. Les 5% du temps restant, nous sommes avec notre esprit conscient; Et quand nous sommes dans la création, nous devons nous concentrer sur nos actions, nous sommes présents à ce que nous faisons. Quand des pensées occupent notre esprit, il laisse la conduite à l'esprit inconscient. Nous venons d'actionner le pilotage automatique. Seulement, l'esprit conscient a oublié le contenu de certains algorithmes. En apprentissage nous sommes obligés d'être concentrer sur nos actions. Par exemple, pour conduire une voiture, nous devons nous concentrer sur de nouveaux gestes. Puis, ce comportement s'enregistre pour devenir machinal. Ensuite, nous pourons discuter avec un passager tout en conduisant. Notre conduite sera devenue mécanique. Nous ne nous en s’apercevons, que lorsque nous avons raté la rue que nous voulions prendre. Nous ne l’avons pas vu ! Parce que nous étions en mode "pilote automatique". Notre cerveau conscient était concentré sur les paroles du passager.

    La relation entre la pensée et le corps.

        Nos cellules se renouvellent constamment. Grâce à des cellules souches, qui sont capables de remplacer n’importe quelles autres cellule du corps. Elles se développent dans notre sang. Si nous mettons des cellules souches  génétiquement identiques dans des environnements différents, elles deviendront différentes. Car elles seront influencées par le milieu dans lequel, elles ont évoluées. C’est la chimie qui contrôle nos gènes. Ce sont nos cerveaux conscient et inconscient qui sont les chimistes. Et ils n'envoient pas le même programme.

    Lorsque nous sommes amoureux nous laissons nos programmes de côté, parce que sommes dans le présent et l'action. Nous sommes en train de créer une nouvelle relation. Nous sommes en mode conscient, nous sommes concentrés sur cette nouvelle relation. Nous sommes dans l’amour. Cela dure quelques temps, puis cela ce dégrade, pourquoi ? Parce que sans nous en rendre compte, nous avons baissé notre niveau de concentration. Et là, nous somme passés en mode automatique, c'est un vieux programme qui se rejoue. Nous pouvons créer le paradis sur terre à condition, de charger dans notre cerveau, le bon programme, pour créer notre vie selon nos désirs, nos espoirs et nos ambitions.

    Vous pouvez créer votre vie selon vos envies, vos rêves et créer votre paradis.

    Les 7 et 8 mai prochain, j’anime à Audenge,  

    un stage de deux jours sur ce sujet.

    "Comprendre les liens entre le cerveau et le corps"

    Il sera composé d’un petit groupe de quatre personnes,

     vous pouvez encore vous inscrire voici mon tél : 06.67.56.94.99.

     

     

  • Les centres énergétiques du corps humain


    1380005982A quoi cela peut-il nous servir ?

    Cette image représente les différents centres énergétiques du corps  par lesquels il reçoit et envoie des informations. Ceci grâce à l’énergie magnétique qui circule à l’intérieur et à l’extérieur de lui. Ces énergies peuvent être tantôt positives ou au contraire négatives.

    Notre corps  et notre cerveau ont  besoin d’énergies positives pour être plus performant, pour être au top de leurs capacités. Les énergies négatives leurs font perdre une partie des leurs capacités et les affaiblissent.

    Je parle ici d’énergies magnétiques, qui se transmettent comme une f
    orce, une puissance, une vigueur. Ou au contraire, une faiblesse, de l’impuissance, une perte d’énergie. En physique, il s‘agit de systèmes qui expriment leur capacité à modifier l’état d’autres systèmes avec lesquels ils entrent en interaction.

    Nous voyons, sur cette image ce que représente chaque centre énergétique du corps. En partant du bas, la survie, le plaisir, la volonté, l’amour, la vérité, la connaissance et l’interaction avec les autres et aussi le cosmos.

    Nous y voyons aussi  ce qui peut empêcher la réception de telles ou telles informations. Comme un égo trop fort, des illusions, les mensonges, le ressentiment, le sentiment de honte, le sentiment de culpabilité et la peur. Mal géré ces informations peuvent nous faire perdre de l’énergie.  

    Nous savons aujourd’hui, grâce aux neurosciences que chaque individu possède cette capacité à entrer en contact par ces centres énergétiques avec d’autres individus. Notre cerveau notamment est doté de neurones qui envoient des ondes vibratoires aux autres cerveaux qui l’entourent. Ce transfert s’opère sans que nous en ayons conscience.

    Donc nous émettons et nous recevons des informations à l’insu de notre conscience, venant de tout ce qui nous entoure. Mais nous ne sommes pas tous au courant de ces transferts. Cependant, nous avons tous la capacité de prendre conscience de ces connexions. Et de décider d’utiliser l’énergie de façon plus positive.

    Cette connaissance sur le fonctionnement de ces centres d’énergie, nous aide à faire la différence entre ce que nous envoyons et ce que nous recevons, afin de faire d'abord le tri entre ce qui nous appartient et ce qui ne nous appartient pas. Comme pour les émotions par exemple. Car dans toutes les émotions que nous ressentons toutes ne viennent pas de nous.

    Il faut savoir que ces émotions ressenties qui viennent de l’entourage, peuvent modifier notre système énergétique interne et donc nous affaiblir si elles sont négatives ou nous stimuler si elles sont positives. Donc notre intérêt est d’apprendre à gérer notre système émotionnel. Et pour cela, nous devons nous libérer d’une idée reçue, qui consiste à croire que nous n’avons pas de pouvoir sur nos émotions. S'il est vrai que parfois elles peuvent nous emporter sans que l'on s'en rende compte, il est aussi vrai qu'une pensée peut générer une émotion selon son genre positive ou négative.

    Plus vous serez à l'écoute de vos émotions et de vos pensées, plus sous serez capables de les transformer.   Donc si vous  transformez une pensée négative en pensée positive, vous avez du pouvoir sur vos émotions. Et vous pouvez choisir d'être plus souvent positif.

     

    Lumineuses pensées

    Chantal

     

  • Juger, condamner ou discerner?

    Est-ce vraiment donner à tout le monde pareil, ou à chacun ce dont il a vraiment besoin ? Comment savoir ? Juger, Comparer, Condamner sont des activités étroitement liées dans notre apprentissage. Ainsi nous oublions qu'il nous est possible de Discerner.

    Juger c’est faire preuve de discrimination (en revenant au sens premier du terme dont la racine est le discernement) c'est aussi s'offrir la possibilité d'ouvrir un regard nouveau sur les éléments de notre vie. Et si nous apprenions à mettre de côté, pour un temps seulement, les aspects émotionnels que nous associons à notre vécu pour gagner en perspicacité ! Qu'en pensez-vous ?

    Apprendre à discerner ce dont nous avons réellement besoin, n’est pas si évident que cela n’y parait. Selon les familles cette notion peut être différente. Certains d’entre nous ont appris à faire passer les besoins des autres avant les leurs. Alors que d’autres ont su très tôt combler leurs besoins. Ceux-là ont eu des parents ou éducateurs qui ont bien remplis leur tâche.

    Les premiers ont eu des parents qui ont inversés la nature de la relation parent, enfant. Le bébé a des besoins, outre celui de manger, être changés, de sommeil, ect, il a besoin d’attention constante, d’affection, qu’on s’intéresse à lui, qu’on lui parle, qu’on le console, qu’on le protège. Parfois de peur que leurs enfants deviennent égoïstes, ces parents veulent que leurs enfants pensent aux autres avant de penser à eux-mêmes. Ils inversent l’ordre des choses.

    Il faut savoir qu’avant sept ans l’enfant ne peut pas raisonner. Cependant, il est dans une phase d’apprentissage constante. Cette première phase d’apprentissage est très importante. Elle commence par l’imagination. L’enfant s’imagine faire comme les adultes qui l’entourent. Ensuite, après quelques mois, il commence par imiter ses modèles. A partir de sept ans et jusqu’à 15 ans, il construit son rationnel, sa capacité de réflexion.

    Ensuite, L’adulte répète ce qu’il a appris. Et les modèles que nous avons eus, ne savaient pas non plus très bien répondre à leurs besoins. Ils  ont donné à leurs enfants ce dont ils auraient eu besoin, eux-mêmes, et qui leur a manqué, dans leur enfance. L’essentiel est de savoir qu’aujourd’hui nous pouvons encore apprendre à prendre soin de nous. Cela consiste en quoi ?  A nous poser la question : De quoi ai-je besoin en ce moment ? Et d’attendre la réponse.

    Comme nous n’avons pas l’habitude de fonctionner ainsi, la réponse peut prendre un peu de temps avant de se manifester. Il suffit d’être patient. L’habitude étant un reflexe conditionné, pour la changer, nous devons répéter la nouvelle attitude pendant vingt et un jour consécutifs pour qu’elle s’imprime dans notre cerveau limbique, qu'elle devient automatique et qu'elle donne naissance à une nouvelle habitude.

     

  • Le pardon et la maladie

    Le pardon et la maladie

    Le pardon envers nous-mêmes, envers l’autre est un facteur très puissant, il éclaire la situation, il apporte  une nouvelle compréhension, il libère, il guérit. A condition de ne pas le confondre avec l’excuse. Il est des comportements qui sont difficilement excusables. Le pardon envers nous-mêmes consiste à devenir l’avocat de l’enfant que nous étions et pour pardonner il est nécessaire dans un premier temps, d’accuser, de dénoncer, de révéler. 

     Le déclencheur de la maladie est très souvent en lien avec un évènement dérangeant, voire douloureux. Celui-ci nous donne une piste  pour retrouver son origine, qui nous conduit parfois dans l’enfance.  Parce que cette période de la vie est très fragile. Par nature, l’enfant est hypersensible, émotif  et joueur. Son rationnel lui fait défaut jusqu’à l’âge de six ou sept ans, à partir de là et jusqu’à quinze ans, sa raison s’édifie peu à peu.

    C’est pour cette raison que les enfants éprouvent de façon erronée de la honte ou de la culpabilité, qui sont des sentiments dévastateurs, destructeurs. Avec eux, la maladie va se développer sournoisement. Le corps exprime ainsi le ressenti accumulé. Et c’est pourquoi il est utile de retrouver nos vieux contentieux, nos blessures oubliées. Car le corps, lui n’oublie pas. Et le travail de destruction ne s’arrête qu’une fois que nous avons tout nettoyé.

    Après et seulement après, le vrai pardon peut s’installer. Parce ce qu’il existe de faux pardons.  Il est des excuses qui ressemblent au pardon et qui n’en sont pas. Bien souvent nous croyons sincèrement avoir pardonné, alors que nous n’avons fait qu’effleurer le sujet. On entend souvent l’entourage dire que nous devons pardonner dans le sens de tourner la page. Ce serait sans compter sur le corps émotionnel, qui demande un gros travail sur soi pour se dégager. Cela ne peut pas se faire en un claquement de doigt. Il s’agit d’un cheminement intérieur, que nous faisons en étant accompagnés.

    Pardonner en superficie, intellectuellement, mentalement, ne peut suffire à éradiquer une forme-pensée ou croyance imprimée dans le corps, car celui-ci n'est pas dupe et vous ne pouvez pas le tromper .Avant de pardonner il est nécessaire d’accuser, de se donner le droit d’exprimer toute sa colère, son ressentiment, de dire tout ce que l’on a sur le cœur, avec son accompagnateur. Cela nous permet de reconnaitre et de prendre conscience de ce qui s’est réellement passé. A partir de là, le vrai pardon se ressent, le corps se dégage, se libère et retrouve la santé.J

    Chaleureusement

    Chantal

     

  • Nos rêves et leurs insolites images

    Nos rêves et leurs insolites images

     

    A quoi servent nos rêves ? Est-ce que  ces  étranges images qui se succèdent sans grande  logique, essaient de me dire quelque chose?  Qu’expriment-ils ?

    La réponse à ces questions se trouve dans le décodage de la symbolique. Avec  une image on peut exprimer plus éloquemment qu’avec des mots, une idée, une émotion,  une pensée, un sentiment, un concept, .une croyance, une conviction. Parce que nous possédons dans notre cerveau une fonction appelée système limbique. Ce vieux système mammifère est très sensible aux images qu’il reçoit, surtout si elles sont accompagnées d’émotions.

    Tout d’abord, il est nécessaire de différencier les rêves oniriques, c'est-à-dire ceux que nous faisons la nuit durant le sommeil, de ceux que nous pouvons faire en étant bien réveillés. Les premiers sont indépendants de notre volonté, de notre conscience. Tandis que les seconds sont conscients dans le but d’imaginer quelque chose. Parfois nous les dirigeons volontairement, parfois nous laissons vagabonder notre imagination.

    Il est vrai que mettre  bout à bout, des images qui sautent du coq à l’âne, peut dérouter notre raison logique. En partant du principe  que nous possédons une part altruiste au fond de nous, qui cherche à nous faire évoluer et que nous en avons une autre qui a été conditionnée par nos parents, nos éducateurs, la  société, alors on peut accepter l’idée que cette part altruiste peut s’exprimer, en nous envoyant des messages codés. Pourquoi ? Parce que notre conditionnement nous a appris à refouler certaines émotions jugées dangereuses dans notre environnement. Que nous appelons le senseur.

     Pour passer cette barrière le rêve onirique utilise des images symboliques. Le problème, c’est que voulons comprendre le contenu du rêve avec notre fonction logique. Alors qu’un message codé demande que nous ayons les mots de passe pour le comprendre. Parce que tout dans un rêve, absolument tout représente une combinaison. Comme pour tous les messages codés, pour les comprendre nous devons déchiffrer les symboles.

    Je vous propose d’apprendre cette symbolique pour enfin comprendre ce que votre par altruiste cherche à vous faire découvrir. Comment elle peut vous avertir d'un danger, vous donner la résolution à une préocupation qui vous fait tourner en rond, vous indiquer le meilleur comportement à adopter dans certaine situation.

    Chantal

     

  • Marie et ses émotions

    Bonjour chers amis,

    Bras ouverts 1

     

    Marie est ce qu’on appelle communément une émotive. C'est-à-dire qu’elle exprime ses émotions assez spontanément. Autant les émotions « dites négatives » que celles « dites positives ». Elle pleure facilement et peut aussi éclater de rire et s’émerveiller devant une fleur ou un animal. Quand elle exprime sa joie et sa bonne humeur, ses amis recherchent sa compagnie. Parce qu’elle est aussi capable d’encourager et de soutenir ses amis. Très souvent, elle remonte le moral de ceux qui l’entourent.

     

    Mais dès qu’elle vit une situation difficile et qu’elle veut en parler, tous sont unanimes pour lui faire remarquer qu’elle estTriste trop émotive. Pourtant, les recherches  effectuées dans ce domaine nous indiquent que nos émotions jouent un rôle important pour notre santé physique, psychologique et psychique.  Certes, le résultat  de ces tests donne, les émotions agréables, comme la joie, la satisfaction, la gratitude, plus efficace pour notre cerveau, qui, comme vous le savez, reste le chef d’orchestre pour l’ensemble de notre corps. Nos émotions de joie et de plaisir permettent la sécrétion d’hormones comme la sérotonine et les endorphines, qui sont des calmants naturels responsables de la sensation de bien-être. Ce qui apporte à notre corps l'harmonie nécessaire au bon fonctionnement de celui-ci.

    Tandis que les émotions  désagréables comme la peur, la colère, libèrent dans l’organisme du cortisol, l’hormone du stress, qui augmente le taux de sucre dans le sang, afin d’augmenter notre force musculaire. Dans le but de nous permettre de courir dans le sens opposé au danger.

    TigreMalheureusement, notre organisme ne fait pas la différence entre ce que l’on éprouve face à une bête féroce et ce que l’on éprouve dans les embouteillages. C’est pour cette raison  que les neuroscientifiques nous conseillent de réguler nos émotions. C'est-à-dire, que de les nier, comme par exemple, dans une situation particulière, je me dis « ah non ! Je ne veux pas me sentir coupable », cela nous indique je me suis sentie coupable, mais que j’ai mis cette sensation désagréable aux oubliettes. Le  problème  c’est que cette sensation va se fixer quelque part dans mon corps.

     Comme nous ne pouvons pas éviter d’avoir des émotions, le conseil de régulation dont nous parlent les scientifiques c’est d’apprendre à ressentir nos émotions afin de les identifier et de les nommer. Est-ce une peur ? De quelle peur s’agit-il ? Cela nous permet de cultiver les situations qui nous procurent du bien-être et d’éviter autant que possible les situations qui génèrent du stress. Ou de réfléchir à une action capable de nous protéger du danger. Ensuite nous pourrons retrouver la sérénité du corps et de l'esprit. Dans un embouteillage, par exemple, je peux avoir peur d’être en retard à mon rendez-vous. Je peux alors prévenir que je suis coincée dans un embouteillage.

    Ensuite, je peux très bien regarder un beau paysage ou écouter une musique plus calme, que j’aime, parce que cetteLever de soleil sur la dune du pyla beauté me procure de la joie. En me concentrant sur la beauté j’active les hormones de la sérotonine et des endorphines, qui vont me calmer, m’apaiser. De cette façon,  je développe, ce que les scientifiques appellent « L’intelligence émotionnelle ». Ainsi,  j’arrive sans stress à mon rendez-vous.  Et je serai plus efficace. 

    Lumineuses pensées

     

     

      

     

     

  • L'intelligence émotionnelle

    Imagesbdl1465h 1L’intelligence émotionnelle

    Notre vie émotionnelle a longtemps été mise de côté par les générations qui nous ont précédées, au profit de la vie intellectuelle plus valorisantes. Depuis quelques années avec les nouvelles découvertes sur la plasticité du cerveau humain, nos émotions trouvent une place au moins aussi importante. Pour un développement harmonieux de l’être humain, l’intellect et l’émotionnel doivent être développés à part égale. Nos émotions sont reconnues pour être une formidable force qui peut être utilisée ou non, voire parfois complètement étouffée. C’est en découvrant leurs implications dans la cause de nos malaises et maladies  que j’ai commencé à  reconnaitre leurs importances, il y a une vingtaine d’années.  Et récemment les neurosciences confirment leurs utilités. Mais elles mettent aussi l’accent sur le fait que près de 50% d’entre nous éprouvent des difficultés pour identifier ce que nous ressentons. Certaines personnes ne peuvent pas dire ce qu’elles ressentent, elles se sentent juste mal !

    Les neuroscientifiques nous invitent à booster ce qu’ils appellent notre intelligence émotionnelle. De quoi s’agit-il991837 le cerveau est excit travers les cordes le concept d intelligence 1 exactement ? De notre capacité à ressentir et identifier nos ressentis et nos émotions. Au début de ma formation en Métamédecine, j’ai vécu une libération émotionnelle intense avec une prise de conscience, qui est a été à l’origine d’une ouverture d’esprit au sujet du monde émotionnel. J’ai compris qu’il s’agissait d’un processus  capable de  transformer notre sentiment d’impuissance, conscient ou inconscient, responsable de la plupart de nos maux physiques et mentaux, en une puissance intérieure capable de nous amener à soulever des montagnes.

    Nous vivons quotidiennement des émotions, qu’elles soient agréables ou désagréables, faibles ou intenses, près de 90% de notre temps. En ce qui concerne les émotions désagréables, la plupart d’entre nous utilisent des comportements d’évitements. C'est-à-dire que nous avons appris à les refouler afin de ne pas ressentir le désagrément qu’elles pourraient nous procurer. Malheureusement, ces émotions sont bel et bien en nous. Nous les chassons juste de notre conscience. Mais elles restent dans une zone cérébrale de notre mémoire inconsciente. NauseeAccumulées au fil du temps elles finissent par se somatiser. Le soma veut dire corps en grec, donc la somatisation veut dire que les émotions non exprimées se sont fixées dans notre corps. Nos comportement d’évitements seront réactivés, chaque fois qu’une situation similaire, à la première fois qu’on les avait ressentis  et refoulés se reproduira. Ces comportements activent le stress en nous. Ils accélèrent notre rythme cardiaque et les surrénales qui libèrent une hormone, le cortisol. Cette hormone est principalement celle du stress, qui prolongé fatigue nos organes.

    Tandis que nos émotions de joie, de plaisir activent nos glandes pour secréter des endorphines et de la sérotonine qui sontImages8eyb7xiu des calmants naturels responsables de la sensation de bien-être. L’intelligence émotionnelle permet un meilleur équilibre et une bonne gestion de ses émotions désagréables et agréables. Et donc un bien-être du corps et le l’esprit.  La bonne nouvelle, c’est que nous pouvons apprendre à développer cette gestion émotionnelle à tous âges. Cela passe par :

    • Apprendre à reconnaitre notre ressenti et nos émotions
    • Comprendre les causes de l’émotion
    • Ecouter nos émotions et les exprimer de façons adaptées
    • Apprendre à réguler nos émotions
    • Accepter toutes les émotions même négatives avec bienveillance
    • Savoir utiliser ses émotions

      Imagestua4cfc3Mettre les bons mots sur ce que l’on ressent, reconnaitre ce qui a contribué à nous mettre dans cet état, exprimer posément ses émotions, apprécier ce que l’on vit, ce que l’on éprouve, sont des stratégies qui nous permettent d’améliorer considérablement notre bien-être.

    • Chacune de ces aptitudes peuvent nous permettre de vivre mieux, plus heureux de réussir professionnellement et de se faire plus d’amis. Cela  contribue à améliorer et à nous maintenir en bonne santé.

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      Je compte ajouter un atelier au mois de juillet sur l'intelligence émotionnelle, pour ceux qui sont intéressés vous pouvez m'enoyer un mail pour m'indiquer vos disponibilités: chantal_feugnet@yahoo.fr . Merci. A bientôt.

      Belle journée

      Chantal

  • Le souffle de vie

    Bonjour chers amis,

    Nous voici au printemps, Chaque jour nous pouvons voir le renouveau de la nature, qui  exprime sa créativité.

    Certains  arbres élèvent leur feuillage vert tendre vers le ciel, cherchant la lumière. Quand d’autres embaument l’air de leur fragrance. Peu importe le temps qu’il fera demain. Ils ne cherchent qu’une chose « s’épanouir » en vivant l’instant présent.  

    Nous sentons tous cette énergie de vie qui nous traverse, qui nous insuffle des idées nouvelles  et nous pousse en avant. Nous pouvons inspirer cette beauté offerte par la nature et sentir la joie qu’elle nous procure. La joie est une énergie  pleine d’amour. Elle nous transporte, nous fait du bien, nous encourage à vivre et à savourer de délicieux moments.

    Nous aussi nous cherchons à nous épanouir, à libérer nos talents cachés, à exprimer notre créativité. Les temps changent, c’est le moment de réaliser nos rêves, de faire ce que l’on aime. Parce que c’est ce que nous faisons le mieux. C’est aussi ce que d’autres ont besoin. Le partage des connaissances, des idées, nous fait avancer vers le changement et le renouveau.

     Embaumons nous aussi l’air avec nos pensées de joie et d’amour. Peu importe les rabats joie, la vie va toujours dans le même sens, de l’avant, nous aussi.

    Je vous souhaite un joyeux et prospère printemps.

     

    Il reste encore une ou deux places pour le stage:

    « Apprendre à libérer sa mémoire émotionnelle » du 28.29.30 avril.

    Pensez à vous inscrire aussi pour celui du 27 au 28 mai  

    « Impact des croyances et des projections sur nos relations »

    Les deux plus importantes découvertes du vingtième siècle en matière de connaissance sur le comportement humain ont probablement été celles de l’importance de l’attachement par John Bowlby en  1950 et celles de l’empathie par Carl R. Rogers en 1940. Ces découvertes ont ensuite été mises en lumière par celles de Giacomo Rizzolatti au sujet des « neurones miroirs » en 1996. Ces capacités innées chez l’enfant jouent un rôle essentiel dans la création des liens sociaux. Comprendre comment  ces liens positifs ou négatifs  se sont crées dans notre enfance.  Découvrir comment ils se sont immiscés dans nos relations d’aujourd’hui et comment s'en libérer.  

    Belles fêtes de Paques et lumineuses pensées.

    Chantal

  • Meileurs vœux

    Bonjour chers amis

     

    Je souhaite qu’en 2017 le ciel soit  clément pour vous et toute votre famille.

    Que les transformations nécessaires à votre évolution s’effectuent en douceur, dans le partage, la solidarité et la bienveillance et l’amour.

    Après une année de réflexion, de quête de vérité,  voici 2017 avec son énergie de changement, de prise de conscience, de prise de décision et de passage à l’action.  Le maître mot c'est ACTION !

    Alors osons ! On ne sait jamais c’est peut-être le projet qui nous semblera le plus fou, qui se réalisera. Ne cherchons pas à savoir comment cela est possible, disons simplement ce que nous aimons. Ce qui nous fait vibrer. Puis Osons passer à l’action. Cette année nous invite à agir.

    Osons écrire tous ce qui pourra combler nos besoins, nos désirs, nos rêves. Soyons bienveillant et généreux avec nous-mêmes. Osons poser des actions qui vont concrétiser nos projets. Osons prendre le risque de les voir se réaliser.

    Osons changez de vie, osons prendre notre vie en main, osons saisir les opportunités qui se présenteront à nous.

    Ne nous laissons pas abattre par les mauvaises nouvelles véhiculées par les médias, parce que se sera un mal pour un bien. C’est ainsi que se font les changements de société.

    2017 est une année qui risque de nous bouleverser. Accueillons le changement. Surfons sur la vague du renouveau ! Osons entreprendre.

     

    Consultations sur rendez-vous à Audenge, Lormont et par Skype.

    Au 06.67.56.94.99

     

    Information des activités en janvier :

    Conférence Centre Quintessence à Gradignan

    Impact émotionnel sur notre dos

    Vendredi 13 janvier 2017

    Salle Lotus

    Conférence/atelier animée par Chantal Feugnet

     

    160 f 15778236 5eitk7cxxfrt0ias1lxfepnvce8k3d0y 1Cette Conférence /atelier fait suite au système digestif

    Notre dos, nous interpelle avec ses malaises et maladies. De quoi nous parle-t-il ? Douleurs des cervicales, des dorsales, des lombaires, ces symptômes sont des alertes envoyés par notre corps afin d’attirer notre attention sur une problématique qui perturbe notre équilibre psychique. La gravité de ces symptômes nous indique qu’il est temps de comprendre ce qui se cache sous ces problématiques.

    Pouvons-nous comprendre ce qui les a déclenchés, peut-être avons-nous fait un faux mouvement, porter des poids, ect ? Se sont des causes physiques. Pourtant ces causes physiques nous donnent des précisions sur le déclencheur  et nous permettent explorer le mal-être  intérieur qui s’y rattache. De quoi  pourrait-il être question ? Vous  trouverez lors de cette conférence/atelier des clefs pour mieux comprendre le fonctionnement de votre corps et les liens qui l’unissent aux émotions non exprimées.

    Places limitées à 20 personnes, pensez à réserver au 06.67.56.94.99

    Entrée 8€

     

    Chaleureuses pensées

    Chantal

     

  • Le pouvoir de l'intention

    émotions

    « Quand l’intention modifie la réalité ».

    Titre d’un article parut sur www.energie-santé.net du mois de mars.

    Depuis un siècle les scientifiques ont découverts que nous pouvions, grâce à notre attention modifier  la réalité. Les expériences menées sur le photon l’ont démontré. Une particule de lumière, le photon pouvait être à la fois une particule et une onde magnétique selon les différents observateurs qui exécutaient la manœuvre.  Qui consistait à faire passer la particule dans deux fentes.  Le résultat changeait chaque fois que l’observateur était différent. Ces découvertes auraient dû changer nos croyances au sujet de notre pouvoir sur les évènements. Jacqueline Bousquet chercheuse à l’I.N.R.A de Bordeaux a donné plusieurs conférences sur ce sujet. Ce qui lui a valu une mise à la retraite anticipée. Elle en avait parlé lors de sa dernière conférence à Saintes en août 2013.  Elle avait quatre vingt six ans et nous a quitté en janvier 2014.  

    MiroirJe vous ai déjà parlé du pouvoir de l’intention quand nous avons un  sentiment de culpabilité. Ce qui ne voulait pas forcément dire que soyons réellement coupable. Nous sommes réellement coupables lorsque nous faisons du mal à quelqu’un avec l’intention de lui faire du mal. Comme par exemple quand nous cherchons à nous venger. Ou que l’on souhaite que la personne qui nous a fait souffrir, souffre à son tour. Parce que parfois nous pouvons prêter aux autres une intention qu’ils n’avaient pas. Si une personne, ou nous-mêmes, nous adressons avec colère à une autre personne, sans lui dire exactement l’objet de notre colère parce que l’on croit, que c’est évident et que l’autre sait de quoi il s’agit, nous pouvons créer des malentendus. Ce qui peut être évident pour nous ne l’est pas forcément pour quelqu’un d’autre.

    Il peut y avoir plusieurs causes à la souffrance. Nous pouvons souffrir du comportement d’autres personnes à notre égard. Soit une personne est très agressive envers nous sans que nous sachions vraiment pourquoi. Soit une personne est devenue agressive, là encore, sans que nous ayons réellement compris pourquoi. A chaque fois ces comportements ont fait naître ou « ont réveillés » des émotions, des sentiments en nous. Ce sont ces émotions ou ces sentiments qui nous font réellement souffrir. Et tant que nous ne les lâchons pas, en les exprimant d’une façon ou d’une autre, notre souffrance perdure.

    Mer dechainee 2Parfois, il s’agit d’un évènement, d’une situation qui génère notre souffrance. Et là aussi nous pouvons constater que des émotions nous submergent d’un coup. Et notre humeur est perturbée, changée, comme si on avait soudainement basculé dans quelque chose qui nous plonge brutalement dans  l’effroi ou l’abattement.  C’est un peu comme si quelqu’un de « non identifié » s’amusait à contre carrer nos projets. Ou qu’on venait casser, écraser, disloquer, stopper, ce qui nous rendait heureux. Là,  nous sommes entrés dans une situation où nous avons un deuil à faire. Et notre société ne nous aide pas dans ces cas là. Parce que le processus de deuil y est tabou et méconnu.  

    Parfois ce sont les décisions que prennent certaines personnes de notre entourage, comme par exemple un enfant peut s’orienter dans une direction qui ne nous plait pas, parce que l’on sait ou croit savoir qu’elle se trompe. Cependant, c’est en se trompant que l’on apprend. Il est donc nécessaire que l’enfant, même devenu adulte, se trompe. C’est ainsi que nous grandissons. La personne n’a pas pris cette décision avec l’intention de nous faire du mal. Elle a pris sa décision parce qu’il s’agit de quelque chose qui lui tient à cœur. Dans ces conditions, c’est la situation qui nous fait souffrir, pas la personne.  Dans tous ces cas, nous pouvons projeter sur les autres des intentions qui ne leurs appartiennent pas. C’est pour cette raison que nous parlons de miroir. Nous projetons sur autrui ce que nous ne pouvons pas voir de nous-mêmes.

    D’un autre côté lorsque nous avons un rêve qui nous tient à cœur  et que notre intention est de tout faire pour réussir, nous projetons une onde électromagnétique très puissante. Que notre intention soit bonne ou mauvaise l’énergie projetée est tout aussi puissante. Notre rêve c’est le moteur, l’intention c’est l’essence qui alimente le moteur. Donc lorsque l’on dit «  je ne sais pas si ça va marcher, j’essaie on verra bien ! ».  On n’alimente pas le moteur. C’est pour cette raison qu’au début les choses fonctionnent, puis s’essoufflent et finissent par s’arrêter faute de carburant.

    Nos pensées, le dialogue intérieur en cours, ces quelques lignes que vous lisez, ne sont pas des paquets de molécules, ce sont des ondes magnétiques qui circulent à travers notre cerveau, et communiquent d’un hémisphère à l’autre, d’une zone à une autre à une vitesse vertigineuse. Elles sont aussi projetées vers l’extérieur de notre cerveau pour aller communiquer avec d’autres cerveaux, consciemment ou non. Le plus important c’est la qualité du vécu, l’essence de l’expérience. Que l’on soit, adepte des neurosciences, Maître yogi, cyber-disciple, moine zen, adepte du Qi gong, tous se rejoignent sur l’importance cruciale de la compassion et de l’amour de son prochain. Car c’est en passant par le cœur qu’il est possible d’entrainer son cerveau. Et d’influer sur nos émotions. Croire dans la réussite de ce qui nous tient à coeur est essentiel au bon déroulement de nos activités. Croire que nous pouvons changer, nous transformer, devenir meilleur participe à l'évolution planétaire. 

    Je vous informe que le stage sur "Comprendre le rôle des neurones miroirs dans une relation"

    qui devait avoir lieu en mai à été reporté au

    4 et 5 juin 2016 à Audenge

    Place limitées, pensez à vous inscrire: 06.67.56.94.99 ou

    chantal_feugnet@yahoo.fr 

    Au plaisir de vous rencontrer prochainement.

    Chantal